Renée Vivien

(1877-1909)

Recueils (ou ensembles) complets

1901 : Études et préludes

1902 : Cendres et Poussières

1907 : Chansons pour mon ombre

Tous ses poèmes disponibles

Liste alphabétique

Liste analphabétique

Poèmes par ordre alphabétique

A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V

 

After glow

Ainsi je parlerai...

À la bien aimée

À la Femme aimée

À la perverse Ophélie

Allons dans le soir

À l’Amie

Amata

Les Amazones

Amazone

À mon Avril

À mon ombre

L’Amour borgne

Amour

L’Anxiété des lèvres

Les Arbres

Arums de Palestine

Atthis

Aube incertaine

Aurore sur la mer [1901]

Aurore sur la mer

L’Automne

Aveu dans le silence

 

Bacchante triste

Le Bloc de marbre

 

Caravanes

Chair des choses

Chanson : Il se fait tard... tu vas dormir...

Chanson : La mer murmure une musique...

Chanson pour Elle

Chanson pour mon Ombre

Les Chardons

Comment oublier le pli lourd...

La Conque

Les Couleurs de la nuit

Cri

Les Cygnes sauvages

 

Dédain de Psappha

Départ

Désir

De ta robe à longs plis flottants...

Devant la mort d’une amie véritablement aimée

Devant la mort

Devant le couchant

La Dogaresse

La Double Ambiguïté

La Douve

D’invisibles pipeaux charment ma solitude...

 

Les Ébauches [1907]

Les Ébauches

Écoutez... Celles-là sont les Musiciennes...

Elle demeure en son palais...

Elle écarte en passant...

Elle habite les Ruines...

Elle passe

Les Emmurées

En débarquant à Mytilène

Épitaphe [1902]

Épitaphe

L’Éternelle vengeance

Les Êtres de la nuit

 

Fleurs de Séléné

La Fusée

 

Ha ! ne me blâme plus, mais blâme mon destin...

 

Ici, dans le verger où se croisent les vents...

Les Îles

Il se fait tard... tu vas dormir...

Il vaut mieux être vil que d’être estimé vil...

Incipit Liber Veneris Cæcorum

Intérieur

Invocation

 

Le Jardin matinal

Je pleure sur toi...

Je t’aime d’être faible...

J’ai l’âme lasse...

J’aime la boue humide et triste où se reflète...

J’ai ruiné mon cœur

 

Le Labyrinthe

La mer murmure une musique...

Lassitude [1902]

Lassitude

Le couchant adoucit le sourire du ciel...

Les algues entrouvraient leurs âpres cassolettes...

Le soir verse les demi-teintes...

Let the dead bury their dead [1902]

Let the dead bury their dead

Le vol de la chauve-souris...

Les Lèvres pareilles

Litanie de la Haine

Locusta

Lucidité : Tendre à qui te lapide...

Lucidité

L’Ombre assourdit le flux...

L’orgueil des lourds anneaux...

 

La Madone aux Lys

Les Mangeurs d’herbe

Mes victoires

Le Miroir

Mon Ami le Vent...

Mon Cœur est lourd

Mon Paradis

La Mort d’une Bacchante

Les Morts Aveugles

Morts inquiets

 

Naïade moderne

Naples

Nocturne

Nous irons vers les poètes

Nudité

La Nuit est à nous

Nuptiale

 

L’Odeur des vignes

L’Offrande

Ô forme que les mains...

Ondine

Ô Sommeil, ô Mort tiède...

 

Parle-moi, de ta voix pareille à l’eau courante...

Paroles à l’Amie

Paroles soupirées

Péché des Musiques

Pénitentes espagnoles

Petit poème érotique

Le Pilori

La Pleureuse

Poème d’amour

Pour toutes

Pour une

Profession de Foi

La Promesse des Fées

Prophétie

Psappha revit

 

Quittant l’air troublé que laboure...

Qu’une vague l’emporte...

 

La Rançon

Réconciliées

Ressemblance inquiétante

Ressouvenir

Revenues

Roses du Soir

Les roses sont entrées

 

Le Sang des Fleurs

Sans fleurs à votre front

La Soif impérieuse

Soir

Sois Femme...

Les Solitaires

Sommeil : Ô Sommeil, ô Mort tiède...

Sommeil : Ton sommeil m’épouvante...

Sommeil

Sonnet : Ha ! ne me blâme plus, mais blâme mon destin...

Sonnet : J’aime la boue humide et triste où se reflète...

Sonnet : Les algues entrouvraient leurs âpres cassolettes...

Sonnet : Sur les marbres massifs plane la paix de l’air...

Sonnet à l’Androgyne : Ta royale jeunesse...

Sonnet à une Enfant

Sonnet de Porcelaine

Sonnet féminin

Sonnet irrégulier : Il vaut mieux être vil que d’être estimé vil...

Sourire dans la mort

Sous un ciel ambigu...

Les Succubes disent...

Sur la place publique

Sur le Rythme saphique

Sur les marbres massifs plane la paix de l’air...

Sur les rocs ont erré les pieds nus de Kupris...

 

Ta chevelure d’un blond rose...

Ta forme est un éclair...

Ta royale jeunesse...

Ta voix est un savant poème...

Tendre à qui te lapide...

Tes cheveux irréels...

Toi notre père Odin

Ton Âme [1902]

Ton âme

Ton sommeil m’épouvante...

Le Toucher

Tu gardes dans tes yeux la volupté des nuits...

 

Union

 

Velléité

Vers Lesbos

Vers les sirènes

Vêtue

Victoire

Vieillesse commençante

Viens, Déesse de Kupros

Violettes blanches

Viviane

Voici ce que je chanterai...

Vous pour qui j’écrivis

 

Water Lillies

 

Les Yeux gris [1901]

Les Yeux gris

 
Amour


 
Mirage de la mer sous la lune, ô l’Amour !
Toi qui déçois, toi qui parais pour disparaître
Et pour mentir et pour mourir et pour renaître,
Toi qui crains le regard juste et sage du jour !
 
Toi qu’on nourrit de songe et de mélancolie,
[...]

[lire le poème...]

Dédain de Psappha


 
Vous qui me jugez, vous n’êtes rien pour moi.
J’ai trop contemplé les ombres infinies.
Je n’ai point l’orgueil de vos fleurs, ni l’effroi
              De vos calomnies.
 
[...]

[lire le poème...]

Sonnet irrégulier


 


Il vaut mieux être vil que d’être estimé vil...
Quels sont ces espions de ma pauvre nature
Dont je suis à la fois la dupe et la pâture
Et dont l’arrêt prescrit l’irrévocable exil ?
[...]

[lire le poème...]

Pénitentes espagnoles


 
Le repentir songeur n’use plus leurs genoux.
Parmi les champs malsains et les villes malades
Elles dansent, ainsi que de noires Ménades.
Parfois le vent du soir éteint leurs cierges roux.
 
[...]

[lire le poème...]

Commentaire (s)
Votre commentaire :
Nom : *
eMail : * *
Site Web :
Commentaire * :
pèRE des miséRablEs : *
* Information requise.   * Cette adresse ne sera pas publiée.
 


Mon florilège

(Tоuriste)

(Les textes et les auteurs que vous aurez notés apparaîtront dans cette zone.)

Compte lecteur

Se connecter

Créer un compte

Agora

Évаluations récеntes
☆ ☆ ☆ ☆ ☆

Lаmаrtinе : L’Hоmmе

Viviеn : Lеs Ébаuсhеs [1907]

Οrléаns : «Hivеr, vоus n’êtеs qu’un vilаin...»

Соuté : Lеs Соnsсrits

Hugо : Lа Légеndе dе lа Νоnnе

Drеlinсоurt : Sur l’Εnfеr

Τоulеt : «Се n’еst pаs drôlе dе mоurir...»

Αpоllinаirе : Lе Сhаt

Τоulеt : «Μоn âmе pаisiblе étаit pаrеillе аutrеfоis...»

Hugо : «Εllе étаit déсhаusséе, еllе étаit déсоifféе...»

☆ ☆ ☆ ☆

Sаint-Ρоl-Rоuх : Lа Jоurnéе prоvеnçаlе

Rimbаud : Lе Μаl

Gоudеаu : Lеs Fоus

Du Βеllау : «Εspérеz-vоus quе lа pоstérité...»

Évаnturеl : Sоuvеnir

Rоllinаt : Lе Сhаssеur еn sоutаnе

Dеrèmе : «Μоn еspérаnсе étаit tоmbéе...»

Ρоnсhоn : Rоndеl : «Αh ! lа prоmеnаdе ехquisе...»

Ρоnсhоn : Сhаnsоn : «Lе јоli vin dе mоn аmi...»

Μussеt : Соnsеils à unе Ρаrisiеnnе

Cоmmеntaires récеnts

De Сосhоnfuсius sur Αu Rоi (Du Βеllау)

De Сосhоnfuсius sur Lа Νеigе (Ρоpеlin)

De аunrуz sur Rêvеriе (Lаrguiеr)

De Сосhоnfuсius sur «Εn un pеtit еsquif épеrdu, mаlhеurеuх...» (Αubigné)

De Сhristiаn sur Сrépusсulе dе dimаnсhе d’été (Lаfоrguе)

De Сurаrе- sur L’Ιndifférеnt (Sаmаin)

De Τhundеrbird sur Αgnus Dеi (Vеrlаinе)

De Сurаrе- sur À сеllеs qui plеurеnt (Dеsbоrdеs-Vаlmоrе)

De Сurаrе- sur Lа Ρаssаntе (Νеlligаn)

De Сhristiаn sur «Lе сhеmin qui mènе аuх étоilеs...» (Αpоllinаirе)

De Ιо Kаnааn sur Jоуаu mémоriаl (Sеgаlеn)

De Lilith sur «Се fut un Vеndrеdi quе ј’аpеrçus lеs Diеuх...» (Νuуsеmеnt)

De Сurаrе_ sur Lе Dоnјоn (Rоllinаt)

De Сhristiаn sur Lе Μusiсiеn dе Sаint-Μеrrу (Αpоllinаirе)

De Ιо Kаnааn sur «Αh trаîtrе Αmоur, dоnnе-mоi pаiх оu trêvе...» (Rоnsаrd)

De Jаdis sur Lе Dоrmеur du vаl (Rimbаud)

De Αlаin sur Lа Сhаpеllе аbаndоnnéе (Fоrt)

De Βеrgаud Α sur Lеs Gеnêts (Fаbié)

De Jаdis sur Lе Rоi dе Τhulé (Νеrvаl)

De Jаdis sur «Τоut n’еst plеin iсi-bаs quе dе vаinе аppаrеnсе...» (Vаlléе dеs Βаrrеаuх)

Plus de commentaires...

Flux RSS...

Ce site

Présеntаtion

Acсuеil

À prоpos

Cоntact

Signaler une errеur

Un pеtit mоt ?

Sоutien

Fаirе un dоn

Librairiе pоétique en lignе

 



Photo d'après : Hans Stieglitz