Après les chants d’église et les airs militaires Plus près d’être pareils qu’on ne croit en effet, Les uns vous pénétrant de délices austères, Les autres, feu puissant, clair, pur, dans les artères, [...]
Je veux m’abstraire vers vos cuisses et vos fesses, Putains, du seul vrai Dieu seules prêtresses vraies, Beautés mûres ou non, novices et professes, Ô ne vivre plus qu’en vos fentes et vos raies ! [...]