Verhaeren

(1855-1916)

Recueils (ou ensembles) complets

1893 : Les Campagnes hallucinées

1895 : Les Villages illusoires

1896 : Les Heures claires

Tous ses poèmes disponibles

Liste alphabétique

Liste analphabétique

Poèmes en vrac

Brisez-leur pattes et vertèbres...

Plus loin que les gares, le soir

Ce chapiteau barbare, où des monstres se tordent...

Vivons, dans notre amour et notre ardeur...

Les Malades

Je dédie à tes pleurs, à ton sourire...

Le printemps jeune et bénévole...

Au bord du quai

Vers le cloître

À pleine voix — midi s’exaltant au dehors...

Sitôt que nos bouches se touchent...

En été

Éperdument

La Vachère

Lorsque tu fermeras mes yeux...

Le Monde

Le Meunier

La Ville

L’Europe

Les Plaines

Je noie en tes deux yeux mon âme toute entière...

Dans un pesant repos d’après-midi vermeil...

La Pluie

Les Vieux Maîtres

Le Fléau

L’Arbre

La Vieille Demoiselle

La Couronne

La Cour

Asseyons-nous tous deux près du chemin...

Oh ! tes si douces mains et leur lente caresse...

La Vieille

Amours de gars

Le Fossoyeur

Dans la maison où notre amour a voulu naître...

La Folie

La Ferveur

Les Trains

Bien que déjà, ce soir...

L’Effort

Et qu’importent et les pourquois et les raisons...

Les Alouettes

Les Vieilles

Art flamand

Les Meules qui brûlent

Celui du rien

Le Forgeron

En ce rugueux hiver où le soleil flottant...

La Tête

La Louange du Corps Humain

Chanson de fou : Brisez-leur pattes et vertèbres...

Les Porcs

Pèlerinage

Un matin

Le crapaud noir sur le sol blanc...

La Barque

La Joie

Que tes yeux clairs, tes yeux d’été...

Le Potager

La Plaine

Les Moines

Un toit, là-bas

Le don du corps, lorsque l’âme est donnée...

Heures d’hiver

À la Gloire des Cieux

Combien elle est facilement ravie...

Dans l’ombre

Le Navire

En hiver

Les Espaliers

L’Aventurier

Les fleurs du clair accueil, au long de la muraille...

Il fait novembre en mon âme

Les Pauvres

Conseil absurde

Chaque heure, où je pense à ta bonté...

Le Passeur d’eau

Cuisson du pain

Décembre : Les Hôtes

Les Chiens de garde

Les Complaintes

Avec leurs groins...

Vous m’avez dit, tel soir...

La glycine est fanée et morte est l’aubépine...

Comme aux âges naïfs, je t’ai donné mon cœur...

Deuil

Chanson de fou : Le crapaud noir sur le sol blanc...

Aux flamandes de Rubens

Le Cri

En ces heures où nous sommes perdus...

Pour nous aimer des yeux...

Tu arbores parfois cette grâce bénigne...

Inconscience

L’Enclos

S’il arrive jamais...

Le Sonneur

La Peur

La Neige

Les Pêcheurs à cheval

Les rats du cimetière proche...

Le ciel en nuit s’est déplié...

Londres

Le soir tombe, la lune est d’or...

Les Idées

Soirs d’octobre

Kato

Un soir : Avec les doigts de ma torture...

Les Récoltes

Le Glaive

Les Paysans

Fleur fatale

Le Vent

Âprement

Les Greniers

Le Donneur de mauvais conseils

Le Hangar

La Bêche

Oh ! laisse frapper à la porte...

Avec les doigts de ma torture...

Oh ! les heures du soir...

Les Villes

Quoique nous le voyions fleurir devant nos yeux...

La Cuisine

Les Fièvres

Truandailles

Les Mendiants

Dialogue

La Ferme

Chanson de fou : Celui qui n’a rien dit...

Les Porcs : Avec leurs groins...

L’Étable

Les Granges

L’Abreuvoir

Le Péché

La Morte

Moine doux

Dis-moi, ma simple et ma tranquille amie...

Épilogue : Oh ! les heures du soir...

Le Menuisier

Chanson de fou : Je suis celui qui vaticine...

Fût-il en nous une seule tendresse...

Autour de ma Maison

Le Départ

Au clos de notre amour, l’été se continue...

Chanson de fou : Les rats du cimetière proche...

Les Plaines : Partout d’herbes en Mai, d’orges en Juillet pleines...

Les Hôtes

Le Lait

Partout d’herbes en Mai, d’orges en Juillet pleines...

La Vache

Si morne !

Ô la splendeur de notre joie...

Ma race

Chanson de fou : Je les ai vus, je les ai vus...

Marines

Les Pêcheurs

Les Fermiers

Viens lentement t’asseoir...

Les Voyageurs

Je les ai vus, je les ai vus...

Les Horloges

Roses de juin

Le Silence

Légendes

Les Vergers

La Révolte

Le Bain

Aux moines

Oh ! ce bonheur...

Des fleurs fines et mousseuses comme l’écume...

Les Troupeaux

Chanson de fou : Vous aurez beau crier contre la terre...

À ces reines qui lentement descendent...

Comme tous les soirs

Au temps où longuement j’avais souffert...

Le Chaland

Les Gueux

La Grande Chambre

À la Gloire du Vent

Le beau jardin fleuri de flammes...

Rentrée des moines

Vous aurez beau crier contre la terre...

Le Banquier

Je suis celui qui vaticine...

Celui qui n’a rien dit...

Pour que rien de nous deux n’échappe à notre étreinte...

Les Cordiers

La Kermesse

 
Les Voyageurs


 
Et par les yeux voilés des horizons songeurs,
Et par l’antique appel des sybilles lointaines,
Et par les au-delà mystérieux des plaines,
Un soir, se sont sentis hélés, les voyageurs.
 
[...]

[lire le poème...]

Le Glaive


 
Quelqu’un m’avait prédit, qui tenait une épée
Et qui riait de mon orgueil stérilisé :
Tu seras nul, et pour ton âme inoccupée
L’avenir ne sera qu’un regret du passé.
 
Ton corps, où s’est aigri le sang de purs ancêtres,
[...]

[lire le poème...]

La Louange du Corps Humain


 
Dans la clarté plénière et ses rayons soudains
Brûlant, jusques au cœur, les ramures profondes,
Femmes dont les corps nus brillent en ces jardins,
Vous êtes des fragments magnifiques du monde.
[...]

[lire le poème...]

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Photo d'après : Hans Stieglitz