Paul-Jean Toulet

(1867-1920)

Recueil complet

1921 : Les Contrerimes (posthume)

Tous ses poèmes disponibles

Liste alphabétique

Liste analphabétique

Poèmes en vrac

Les poètes, gens précieux...

Dans quelle Inde nouvelle...

Ciel équivoque, heures de brune...

Écoute les fruits que l’automne détache...

Sous le soir jaune et vert...

Soir de Montmartre.

Les plaisirs de mes jeunes ans...

Géronte d’une autre Isabelle...

Comme je lui levais sa jupe...

En l’an 801 de Rome...

Nocturne.

Il pleuvait. Les tristes étoiles...

La vie est plus vaine une image...

Quatre ou cinq, nous avions résolu...

Avril, dont l’odeur nous augure...

S’il vous plaît de venir vers nous et les mornes campagnes...

À l’Alcazar neuf, où don Jayme...

Nous jetâmes l’ancre, Madame...

Sur le canal Saint-Martin glisse...

Ce n’était qu’un enfant un peu voluptueux...

Toi qu’arment les pavots...

J’ai vu le Diable, l’autre nuit...

Le bouc et la brebis...

Je me rappelle un jour...

En Arles.

Voici que j’ai touché...

Rendez-vous ce jour-là...

Si vivre est un devoir...

Au détour de la rue étroite...

Tout ainsi que ces pommes...

La mer étincelait...

Telle qu’étincelait sa gorge...

J’ai connu dans Séville...

Me rendras-tu, rivage basque...

Le soleil se levait...

Ô nuit parmi les nuits...

Qu’importe si l’automne...

Cette fraîcheur du soir...

Quel pas sur le pavé boueux...

Sur un portrait de Madame Récamier.

De toutes les filles sans mœurs...

J’adore les magasins...

Ô Madone à la lourde traîne...

C’est la R. H. Ellen...

Épitaphe.

Presque une enfant encor...

On dirait une main...

Le coucou chante au bois qui dort....

Eh quoi, le monde tourne...

In memoriam Jean-Marc Bernard

Tandis que l’orchestre écoule...

Heure céruléenne...

Étranger, je sens bon...

Nous fumâmes toute la nuit...

Nane, as-tu gardé souvenir...

Ce fut par un soir de l’automne...

De faire amant ensemble...

Mahé des Seychelles, le soir...

Tant de travail, docteur...

Paradis d’ombre fraîche...

Ce pavé que l’Europe foule...

Puisque tes jours ne t’ont laissé...

Seigneur, qui remplissez l’espace...

L’un vainqueur ou l’autre battu...

Aimez-vous le passé...

Cet huissier, qui jetait, l’été...

C’est Dimanche aujourd’hui...

D’un noir éclair mêlés, il semble...

Que ce fut douce, hélas...

Ciel ! Isadora Duncan...

Les trois dames d’Albi.

Amie aux regards changeants...

Non, ce taxi, quelle charrette....

Dolhia, au poète Fô.

Tel qui soûla de sang...

Ô Diane, ô nuit pure...

J’ai vu ton père et ton époux...

C’était, dans les vapeurs du nard...

Tant pis si Boulenger m’attrape...

Jardin qu’un dieu sans doute...

Quoi, nul amour encor...

Contemple un autre monde...

(Traduit de Voltaire.)

Dans ce charnier d’amants...

Iris, à son brillant mouchoir...

Brouillard de l’opium...

Hachichinn

Vous souvient-il de l’auberge...

Sur « la Source » d’Ingres :

Toi qui laisses pendre, reptile superbe...

Toi, pour qui les dieux du mystère...

Qui dira, dans l’ombre du bois...

On descendrait, si vous l’osiez...

Madame, qui l’eût dit...

Que je t’aime au temps chaud...

Enfin, puisque c’est Sa demeure...

Sur un exemplaire de Comme une Fantaisie

Tout autour de la lampe...

Boy, une pipe encor...

La guirlande n’est plus...

Ces roses pour moi destinées...

Gloire aux victorieux...

Heureux qui meurt chargé d’années...

Va, laisse notre amour en paix...

Rêves d’enfant.

Faust est triste et seul dans sa chambre...

Chevaux de bois.

Vénus hait le soleil...

Bayonne ! Un pas sous les Arceaux...

Quoi, c’est vrai, tu m’aimas...

Ce qu’il fait, Z. a cru...

C’était longtemps avant la guerre.

Toi qu’empourprait l’âtre d’hiver...

C’était sur un chemin crayeux...

L’immortelle, et l’œillet de mer...

Rappelez-vous : dans les prés verts...

Agnès, pleurer ? Dit Charle...

Toi dont pendent les fleurs...

À Londres je connus Bella...

Hélas, rien ne varie...

Mère d’un seul amour...

Je connais un secret bocage...

Dessous la courtine mouillée...

Ô poète, à quoi bon chercher...

Stendhal, si revenait...

Mon âme paisible était pareille autrefois...

Nuit d’amour qui semblais fuir...

Les Quarante...

Le sonneur se suspend, s’élance...

J’ai beau trouver bien sympathique...

Salut, Côte-Rotie, et toi, rouget trilibre...

Toi qui blessas Vénus...

Le temps d’Adonis.

Le Mardi gras, ni toi, ni moi...

Vous tous encor que ravit de rêver...

Ô jour qui meurs à songer d’elle...

Le sable où nos pas ont crié...

Quand l’enfant prodigue revint...

Fô a dit...

Dans la casa Tenorio...

Souffrance

Eh, jeûnes à ta faim d’aimer...

Pâle matin de Février...

Tu m’avais dit...

Dernier amour

Dans le lit vaste et dévasté...

Mon chien s’appelait Tom...

Ne crains pas que le Temps...

Sur un tableau de Vinci.

Ces moires dont Zéphire incline la prairie...

Quand les os sont pareils...

Sur la Halte de chasse de Van Loo.

Vieillesse, lendemain d’amour...

Longtemps si j’ai demeuré seul...

Ah ! laissez-vous fléchir un instant...

L’amour n’est plus...

Le tournebroche à poids...

De tout ce gala de province...

Vous qui retournez du Cathai...

Augagneur va parler...

La demoiselle, de vieillesse...

Le Tremble est blanc.

Dans la rue-des-Deux-Décadis...

Des bords du canal noir...

Tandis qu’à l’argile au flanc vert...

Église de Saint-Augustin...

Mopse, pour tous émoluments...

Le rameau d’or

Sur une statue de Michel-Ange.

Admire des glaïeuls...

Ainsi, ce chemin de nuage...

Sous le ciel noir, j’entends...

Comme les dieux gavant leur panse...

Amarissimes.

La dure alcôve...

Tout ce réseau, cette ombre...

Je songe aux plats sucrés...

Plus oultre.

J’ai trouvé mon Béarn le même...

Ce n’est pas drôle de mourir...

Un Jurançon 93...

L’Alchimiste.

J’avais laissé mon argent...

La première fois.

En souvenir des grandes Indes...

Industrieux fils de Dédale...

Sur Boucher :

Dans l’océan des nuits...

Réveil.

Mopse prétend pécher...

Il n’est plus, ce jour bleu...

Toi dont un tendre cœur...

Le microbe : Botulinus...

Lorsque Timour partit...

Quelquefois, après des ébats polis...

Le parc ruisselle encore...

Vêtue à l’envi d’un beau soir...

Embrassez-moi, petite fille...

Toi qui fais rêver, ô brune...

Carthame chatoyant, cinabre...

Toute allégresse a son défaut...

Midi résonne à chaque horloge...

Cette averse, Badoure...

En l’an 1910...

Molle rive dont le dessin...

Dans le silencieux automne...

Saigon : entre un ciel d’escarboucle...

Arc vermeil, mais des arcs...

Un soldat d’or faisait des pas...

Princes de la Chine.

Elle est noire, c’est vrai...

À l’écart de tes sombres yeux...

La Cigale.

Trottoir de l’Élysé’-Palace...

Sur un exemplaire du Grand Dieu Pan

Pour un cuino, se mettre à trois...

Ne cherche pas l’amour...

Comme à ce roi laconien...

Éléphant de Paris.

Le roi boit. (d’après Omar Queyam).

Quand l’âge, à me fondre en débris...

Douce plage où naquit mon âme...

Le Dégel

Il m’en souvient...

Des pommes que l’automne a peintes...

Oui, Marsan, vous avez raison...

Scarabée amoureux...

In memoriam Henry de Bruchard.

Tu as beau me parler de vieillesse...

Sur l’océan couleur de fer...

Nous bûmes tout le jour...

Si ta grande ombre, ô Moréas...

Bénarès, dont le nom...

Alcôve noire.

In memoriam J. G. M.

Vous me reprochez, entre tant...

À un absent

Pour un air sifflé dans la rue...

Sous ta paupière bleue, Albe...

As-tu peur de la nuit qui tombe ?...

Filles de la fumée...

Invisibles regards...

Ô femmes, dites-moi...

Qu’Allard, sur la caricature...

Le Garno.

Alger, ville d’amour...

Pour une dame imaginaire...

Dandysme

Deux vrais amis vivaient...

Spongieux, panaché de bambous...

Dessous le flamboyant...

Chandelier toujours sans chandelle...

Boulogne.

L’ombre, ni le mystère...

Tel variait au jour changeant...

Le lys.

L’Ingénue.

 
En Arles.


 
Dans Arle, où sont les Aliscams,
Quand l’ombre est rouge, sous les roses,
                Et clair le temps,
 
Prends garde à la douceur des choses.
Lorsque tu sens battre sans cause
                Ton cœur trop lourd ;
 
Et que se taisent les colombes :
Parle tout bas, si c’est d’amour,
                Au bord des tombes.
[...]

[lire le poème...]


Je songe aux plats sucrés de ma vieille Detzine,
Et du service Empire en son jaune marli.
Un lamba madécasse enveloppait mon lit,
Sous le pastel usé d’une affreuse cousine.

[lire le poème...]


Rappelez-vous : dans les prés verts
Nous nous roulions à notre envie ;
C’était au matin de la vie,
Je ne vous disais point de vers.
 
Ni ne vous disais pas encore
Ce qu’hélas ! je ne vous dis plus.
Le soir tombe, et nous a perclus.
Mais un astre, au loin, le décore.
 

[lire le poème...]


Quand les os sont pareils à des roseaux légers ;
L’heure, comme une flûte au bord de la prairie :
Pavots de pourpre, ô vous dont l’ombre s’est fleurie,
Défendez-nous du jour et des pieds étrangers.

[lire le poème...]

Commentaire (s)
Déposé par Yeats le 22 mars 2024 à 18h06

J’avais rêvé qu’une très loin
   En exil était morte.
À sa fosse on cloue une porte :
   Un paysan du coin

Craintif de la laisser trop seule ;
   Il lui fait de surcroît
De deux bouts de planche une croix,
   Qu’une ombre l’enlinceule,
 
Puis l’abandonne au froid des cieux...
  Mais j’y viens et ciselle :
“Que ton premier amour plus belle,
  La Manquante en ces lieux”.

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