Trop longtemps vous vois sommeiller, Mon Cœur, en deuil et déplaisir ; Veuillez vous ce jour éveiller, Allons au bois le mai cueillir, Pour la coutume maintenir. Nous oirons des oiseaux le glai, [...]
Pourquoi m’as-tu vendu, Jeunesse, À grand marché, comme pour rien, Ès mains de ma dame Vieillesse Qui ne me fait guère de bien ? À elle peu tenu me tiens, Mais il convient que je l’endure, Puisque c’est le cours de nature.
Son hôtel de noir de tristesse Est tendu. Quant dedans je viens, J’y vois l’histoire de Détresse [...]