J’aurais pu ne jamais connaître Le dur besoin de ne plus être. Mais puisque à jamais tu te tais, Puisque se sont défaits tes yeux, Je songe d’un cœur radieux Au néant qui m’épouvantait. [...]
Et puis surtout, d’abord, le silence et l’oubli ; Plus rien, ah ! plus d’effort, de voix et de visage Laissez, on est mieux seul dans le soir amolli Pour ces tournants de vie et ces mauvais passages...