Quand Madame W(aldor) à P(aul) F(oucher) s’accroche Montrant le tartre de ses dents, Et dans la valse en feu, comme l’huître à la roche, S’incruste à ses muscles ardents ; [...]
Dans son assiette arrondi mollement, Un pâté chaud, d’un aspect délectable, D’un peu trop loin m’attirait doucement. J’allais à lui. Votre instinct charitable Vous fit lever pour me l’offrir gaiement. [...]
Heureux l’homme au cœur pur qui peut, lorsqu’il se couche, S’endormir sans Janin, sans Pyat et sans Gozlan ! Qui contemple du port les phrases de Latouche Et les bons mots de Roqueplan !