Couchée à travers le divan, les pieds par terre Et sa touffe de poils bouffant en flots légers Elle caresse avec des gestes allongés Son corps chaud que nul vin viril ne désaltère. [...]
Elle entra, et passionnément, les yeux fermés à demi, elle unit ses lèvres aux miennes et nos langues se connurent... Jamais il n’y eut dans ma vie un baiser comme celui-là.
Elle était debout contre moi, toute en amour et consentante. Un de mes genoux, peu à peu, montait entre ses cuisses chaudes qui cédaient comme pour un amant.
Cela est impossible, impossible. Je t’en supplie à genoux, avec larmes, toutes les larmes que j’ai pleurées sur cette horrible lettre, ne m’abandonne pas ainsi.
Songes-tu combien c’est affreux de te reperdre à jamais pour la seconde fois, après avoir eu l’immense joie d’espérer te reconquérir. Ah ! mes amours ! ne sentez-vous donc pas à quel point je vous aime !