Quand viendra ce jour là, que ton nom au vrai passe Par France dans mes vers ? combien et quantes fois S’en empresse mon cœur, s’en démangent mes doigts ? Souvent dans mes écrits de soi-même il prend place.
N’ayez plus, mes amis, n’ayez plus cette envie Que je cesse d’aimer ; laissez-moi, obstiné. Vivre et mourir ainsi puisqu’il est ordonné ; Mon amour, c’est le fil auquel se tient ma vie.
Amour, lorsque premier ma franchise fut morte, Combien j’avais perdu encor je ne savais, Et ne m’avisais pas, mal sage, que j’avais Épousé pour jamais une prison si forte.
Je pensais me sauver de toi en quelque sorte, [...]