Étienne Jodelle

(1532-1573)

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Ô Toi qui as et pour mère et pour père...

Pourrais-je voir l’heureuse et fatale journée...

Si quand tu es en terre, ô Diane, ta face...

Par quel sort, par quel art pourrais-je à ton cœur rendre...

Tout cet hiver par l’âpre et l’aigre véhémence...

Amour vomit sur moi sa fureur et sa rage...

Ô traîtres vers...

Dès que ce Dieu...

Chaque temple en ce jour donne argument fort ample...

Je me trouve et je me perds, je m’assure et m’effraie...

Afin qu’en cet ouvrage, aux faces de dehors...

Passant dernièrement des Alpes au travers —...

J’aime le vert laurier, dont l’hiver ni la glace...

En mon cœur, en mon chef (l’un source de la vie...

Même effet qu’ont les vents enclos dessous la terre...

En tous maux que peut faire un amoureux orage...

Que n’ai-je mes esprits un peu plus endormis...

Je vivais mais je meurs, et mon cœur, gouverneur...

Quand ton nom je veux faire aux effets rencontrer...

Aux communes douleurs qui poindre en ce jour viennent...

Quand ton nom je veux feindre, ô Françoise divine...

De quel soleil, Diane, empruntes-tu tes traits...

Ou soit que la clarté du soleil radieux...

Jusqu’aux autels je n’irai seulement...

Comme un qui s’est perdu dans la forêt profonde...

Recherche qui voudra cet Amour qui domine...

Des trois sortes d’aimer, la première exprimée...

Des maux qu’un désespoir, ou qu’un espoir contraire...

Maudirai-je, Madame, ou le sort envers moi...

Et quoi ? tu fuis Amour ? Dis-tu pas : et pourquoi ?...

Combien de fois mes vers ont-ils doré...

Saphon, la docte Grecque à qui Phaon vint plaire...

Des astres, des forêts, et d’Achéron l’honneur...

Quelle humeur, mais quel crime alors qu’on se dispense...

Admirant ta blancheur, beauté, majesté, gloire...

Avec ton cher portrait, qui dans mon âme éprise...

Épitaphe du Membre viril de Frère Pierre

En ce jour que le bois, le champ, le pré verdoie...

Sans pleurer (car je hais la coutumière feinte...

Je m’étais retiré du peuple...

Encor que toi, Diane, à Diane tu sois...

Il faut que pour ton mai quiconque soit celui...

Allez, mes vers, enfants d’un deuil tant ennuyeux...

Madame, j’ai regret de quoi je n’ai cet heur...

Je te rends grâce, Amour, et quiconque des Dieux...

Quel heur, Anchise, à toi, quand Vénus sur les bords...

Plutôt la mort me vienne dévorer...

En quelle nuit, de ma lance d’ivoire...

La Roche du Caucase, où du vieil Prométhée...

De moi-même je suis dévotieux, Madame...

Madame, c’est à vous à qui premièrement...

Je ne suis de ceux-là que tu m’as dit se plaindre...

À sa Muse

Celle qui est au vif de quelque amour atteinte...

Je meure si jamais j’adore plus tes yeux...

Si quelqu’un veut savoir qui me lie et enflamme...

Quelque lieu, quelque amour, quelque loi qui t’absente...

 


Chaque temple en ce jour donne argument fort ample
De joie, refaisant son haut faîte sonner
Et d’un chant gai son chœur et sa nef résonner,
Où chaque image à nu découverte on contemple.
 
[...]

[lire le poème...]


Quand ton nom je veux faire aux effets rencontrer
De la sœur de Phébus, qui chaste et chasseresse
Est tant au ciel qu’en terre et aux enfers Déesse,
Elle fort dissemblable à toi se vient montrer.
 
[...]

[lire le poème...]


Quand ton nom je veux feindre, ô Françoise divine,
Des Françaises l’honneur, je puis bien te nommer
Vénus pour tes beautés, mais ta façon d’aimer
Ne convient point au nom de Vénus la marine ;
 
[...]

[lire le poème...]


De moi-même je suis dévotieux, Madame ;
C’est d’où me vient vers toi telle adoration.
Mais ce Saint Jour requiert autre dévotion
Si mon amour pour toi n’occupait toute l’âme.
 
Ce prompt Démon qui voit que mon zèle j’enflamme,
[...]

[lire le poème...]

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