(1862-1931)
1892 : Six chansons de pauvre homme pour célébrer la semaine de Flandre
1898 : Enluminures
1922 : La Chanson de la rue Saint-Paul
Liste alphabétique
Liste analphabétique
Huit chansons reverdies dont quatre pleurent et quatre rient
Préface : Musiques ici...
Alors au loin, cheval au pas
Celle du jeudi
Mais geai qui paon se rêve aux plumes...
À présent c’est la nuit qui tombe...
Celle du samedi
Et lors en gris, et lors en noir
Et Marie lit un évangile
Et lors, c’est la fin venue de mes fêtes...
Mais revoici la vie
In Memoriam
Et maintenant voici que l’on boit et qu’on mange
Et c’est Lui, comme un matelot
Je n’ai plus de ville, Elle est soûle...
Un pauvre homme est entré chez moi...
Mais dans un château...
Puis violon haussé d’un ton
Et je m’en reviens de mer...
À présent c’est encor Dimanche...
Or pour commencer tout en foi
Et de vaisseaux, et de vaisseaux...
Mais lors voici le grand concert
En rond les maisons
À Ma Sœur Marie
Or, en aujourd’hui et mes heures...
Maintenant ici tirez le rideau...
Et vaisseau mon bon frère
Désir
Celle du lundi
Mais alors ici de ville en villages
Ma sœur aînée, Mélancolie...
À présent voici comme une prière
Et chacun faisant son métier
Et maintenant voici l’hiver
Ici c’est un vieil homme de cent ans...
Mais comme en image à présent
Celle du mercredi
Mais les anges des toits des maisons de l’Aimée...
Et tout au fond du domaine loin...
On dit :
Et voile à nul souffle bercée...
La Chanson de la rue Saint-Paul
De visitation
Le Calvaire
Or c’est ma vie rêver ainsi
Celle du vendredi
Musiques ici...
Celle du mardi
Ad finem
Mais lors ma joie étant Hollande
Dormez-vous encor, paroissiens ?
À mon père
Alors c’est un pays d’en haut
Or Saint Pierre et Marthe la bonne
Or, les autres des bras en gestes...
Alors voici sur un autre air
Et connais-tu Marco la belle ?
Puis la mer monte
Elle avait nom Aurore...
À ma mère
Hôpital ici où l’on va...
J’ai triste d’une ville en bois...
Mais las ici voici mes yeux
Vitrail
Or à chacun soit sa fête ou son lot
Moi je ne suis qu’un pauvre sacristain
Or dans les maisons
Mais l’heure sonne
Tu l’as voulue ta peine Aux jours dont tu fus l’hôte, En commettant tes fautes Et ta coupe en est pleine, Tu as voulu tes croix Dans les soirs qui s’achèvent, Aux Golgothas des rêves Où tu cherchais l’émoi, Et ton âme a saigné Et ton cœur a souffert, Dans des heures amères Où c’est rancœur qui naît. [...]
[lire le poème...]
Ma sœur aînée, Mélancolie, Pourquoi m’avez-vous tant aimé ? Somme faite de notre vie, J’ai songé trop, et vous pleuré, Et pourtant nos âmes amies Sous le ciel n’avaient souhaité, Qu’en nos jours un peu d’harmonie, Mélancolie, ma sœur aînée. Or trop loin les terres promises, Ma sœur d’hiver, ma sœur d’été, [...]
À présent ici, Noue-la ton écharpe, C’est le vent, la pluie, Tu n’as plus vingt ans, Tes cheveux sont blancs Et grise ta barbe, Et voici la vie Dont tu te déprends, Plus rien ne t’attend Dans les jours qui viennent, Et choses anciennes Qui ont fait leur temps, Tu portes ton cœur Et sans te leurrer, [...]
Musiques ici Faites de ta vie, À son aube luie Lointaine aujourd’hui, Ce sont jours allés De soleil ou pluie, Au cœurs des années, Désormais pâlis. Or en l’ombre en eux Ici qui prend place, Ainsi que le veut Temps qui tout efface, Mais en toi restée Leur clarté si blanche, [...]
(Tоuriste)
(Les textes et les auteurs que vous aurez notés apparaîtront dans cette zone.)
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