Antoine de Bertin

(1752-1790)

Recueil complet

1780 : Les Amours

Tous ses poèmes disponibles

Liste alphabétique

Liste analphabétique

Poèmes en vrac

Elle est à moi ! Divinités du Pinde...

À Eucharis : Oui, tout Paris sait ta noirceur...

Songes-y bien, ma bergère...

À ma muse

Le Départ

À Eucharis : Le Ciel, hélas ! veut venger mes injures...

Éloge de la campagne

Je vous revois, ombrage solitaire...

Du fracas de la ville...

Me voici dans le froid séjour...

À l’amour

À la même : Songes-y bien, ma bergère...

À M. le Vicomte de B** B**

C’en est fait, et mon âme émue...

Je chantais les combats : étranger au Parnasse...

La Moisson

La Veillée

Ne crains pas qu’à mes côtés...

Portrait d’Eucharis

À Eucharis : Est-ce bien vous qui m’écrivez...

Le Ciel, hélas ! veut venger mes injures...

Est-ce bien vous qui m’écrivez...

À Eucharis : Il fut un temps où vos lettres fidèles...

L’Absence

Dans la contrainte et les alarmes...

À Eucharis : Que peut demander aux Dieux...

À un ami : Ah ! c’en est trop...

À Eucharis : Du nom qui pare mes écrits...

Les Baisers

À un rival

Qui ? Moi ! J’ai pu d’un air farouche...

À Eucharis : Ne crains pas qu’à mes côtés...

Quand ton ami se désespère...

Du nom qui pare mes écrits...

Brisons cette lyre inutile :...

Que me sert aujourd’hui...

Ainsi, lorsque, plongé dans ma douleur mortelle...

Aux manes d’Eucharis

Les Voyages

Mes pleurs ne coulaient plus ; mes yeux...

À Eucharis : Qui t’aimera jamais comme je t’aime ?...

À Catilie : Dans la contrainte et les alarmes...

Les Jardins du Petit Trianon

À M. le Comte de P**

Va, ne crains pas que je l’oublie...

Pourquoi reprocher à ma lyre...

À Eucharis : Deux fois, j’ai pressé votre sein...

La Méridienne

Oui, c’en est fait : je demeure en ces lieux ;...

C’est assez d’une faible lyre...

Oui ! que des Dieux vengeurs l’implacable courroux...

Il fut un temps où vos lettres fidèles...

Que peut demander aux Dieux...

À Catilie : Quand ton ami se désespère...

À Catilie : Va, ne crains pas que je l’oublie...

Si les vents, la pluie et la foudre...

Oui, tout Paris sait ta noirceur...

Quand je perdais les plus beaux de mes jours...

À Eucharis : Que me sert aujourd’hui...

La Vendange

Deux fois, j’ai pressé votre sein...

Qui t’aimera jamais comme je t’aime ?...

Adieux à une terre qu’on était sur le point de vendre

Je n’ai plus d’Eucharis ! Que m’importe la vie ?...

À Catilie : Me voici dans le froid séjour...

À Eucharis : Si les vents, la pluie et la foudre...

Sur le mariage de Catilie

À Eucharis : Qui ? Moi ! J’ai pu d’un air farouche...

À la même : Du fracas de la ville...

Ah ! c’en est trop...

À M. le Chevalier de P**

 
À Eucharis


 
      Deux fois, j’ai pressé votre sein,
Et vous m’avez, deux fois, repoussé sans colère.
      Vous avez rougi du larcin :
Ne fait-on que rougir, lorsqu’il a pu déplaire ?
  Ah ! c’est assez : oui, je lis dans vos yeux,
[...]

[lire le poème...]


Oui ! que des Dieux vengeurs l’implacable courroux
Sur l’infernal rocher d’un nœud d’airain t’enchaîne,
Ô toi qui, le premier, inventas les verroux,
Et fis crier les gonds sous des portes de chêne !
On enferme Eucharis ; un injuste pouvoir
[...]

[lire le poème...]

À Eucharis


 
Il fut un temps où vos lettres fidèles
Adoucissaient mon exil amoureux :
Ce temps n’est plus. Un destin rigoureux,
Dix jours entiers, m’a déjà privé d’elles.
Épargnez-vous des détours superflus,
[...]

[lire le poème...]

À un ami


 
Ah ! c’en est trop : crois-moi, l’affreuse envie
Se hâte en vain de nommer mon vainqueur.
Le doux objet qui m’a repris son cœur
Me l’a rendu : c’est pour toute la vie.
Je défierais et les rois et les Dieux
[...]

[lire le poème...]

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Photo d'après : Hans Stieglitz