Ô Prison douce, où captif je demeure Non par dédain, force, ou inimitié, Mais par les yeux de ma douce moitié Qui m’y tiendra jusqu’à tant que je meure.
Ô l’an heureux, le mois, le jour, et l’heure, [...]
C’était alors que le présent des Dieux Plus doucement s’écoule aux yeux de l’homme, Faisant noyer dedans l’oubli du somme Tout le souci du jour laborieux, [...]