Le plus aimable jour qu’ait jamais eu le monde,
Le plus riche printemps que le Soleil ait vu,
Celui de nos amours, d’attraits le mieux pourvu,
Ni toutes les beautés de la fille de l’onde,
Ce que donne Apollon pour embellir sa sœur,
Aux grâces de vos yeux à peine s’accompare,
Ni toutes ces fleurs d’or dont l’Aurore se pare,
Quand elle va baiser son amoureux chasseur.
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Mon florilège
(Tоuriste)
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