Ébloui de l’éclat de la splendeur mondaine,
Je m’enivrai toujours d’une espérance vaine,
Et fis le chien couchant auprès d’un grand Seigneur ;
Je me vis toujours pauvre & tâchai de paraître ;
Je vécus dans la peine, aspirant au bonheur,
Et mourus sur un coffre, en attendant mon Maître.
Commentaire (s)
Votre commentaire :
Mon florilège
(Tоuriste)
(Les textes et les auteurs que vous aurez notés apparaîtront dans cette zone.)