Plus tu connais que je brûle pour toi,
Plus tu me fuis, cruelle :
Plus tu connais que je vis en émoi,
Et plus tu m’es rebelle.
Te laisserai-je ? hélas ! je suis trop tien ;
Mais je bénirai l’heure
De mon trépas : au moins s’il te plait bien
Qu’en te servant je meure.
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Mon florilège
(Tоuriste)
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