Mathurin Régnier


Le Mauvais Gîte


 

SUITE


 

SATIRE XI


 
Voyez que c’est du monde, et des choses humaines !
Toujours à nouveaux maux naissent nouvelles peines ;
Et ne m’ont les destins, à mon dam trop constants,
Jamais, après la pluie, envoyé le beau temps.
Étant né pour souffrir, ce qui me réconforte,
C’est que, sans murmurer, la douleur je supporte.
Et tire ce bonheur du malheur où je suis,
Que je fais, en riant, bon visage aux ennuis ;
Que le ciel affrontant je nasarde la lune,
Et vois, sans me troubler, l’une et l’autre fortune.
  Entré donc que je fus en ce logis d’honneur,
Pour faire que d’abord on me traite en seigneur,
Et me rendre en amour d’autant plus agréable,
La bourse déliant je mis pièce sur table ;
Dès lors pour me servir chacun se tenait prêt ;
Et murmuraient tout bas : L’honnête homme que c’est !
Toutes, à qui mieux mieux, s’efforçaient de me plaire.
L’on allume du feu, dont j’avais bien affaire.
Je m’approche, me sieds ; et, m’aidant au besoin,
Jà tout apprivoisé je mangeais sur le poing,
Quand au flamber du feu trois vieilles rechignées
Vinrent à pas comptés comme des araignées :
Chacune sur le cul au foyer s’accroupit,
Et semblaient, se plaignant, marmotter par dépit.
L’une, comme un fantôme affreusement hardie,
Semblait faire l’entrée en quelque tragédie ;
L’autre, une Égyptienne, en qui les rides font
Contrescarpes, remparts, et fossés sur le front ;
L’autre, qui de soi-même était diminutive,
Ressemblait, transparente, une lanterne vive.
Or j’ignore en quel temps d’honneur et de vertu,
Ou dessous quels drapeaux elles ont combattu ;
Si c’était mal de saint, ou de fièvre quartaine ;
Mais je sais bien qu’il n’est soldat, ni capitaine,
Soit de gens de cheval, ou soit de gens de pied,
Qui dans la Charité soit plus estropié.
Bien que maître Denis, savant en la sculpture,
Fît-il, avec son art, quinaude la nature ;
Ou, comme Michel-l’Ange, eût-il le diable au corps,
Si ne pourrait-il faire, avec tous ses efforts,
De ces trois corps tronqués une figure entière
Manquant à cet effet, non l’art, mais la matière.
À ce piteux spectacle il faut dire le vrai,
J’eus une telle horreur que tant que je vivrai
Je croirai qu’il n’est rien au monde qui guérisse
Un homme vicieux, comme son propre vice.
Toute chose depuis me fut à contrecœur ;
Bien que d’un cabinet sortît un petit cœur,
Avec son chaperon, sa mine de poupée,
Disant : J’ai si grand peur de ces hommes d’épée,
Que si je n’eusse vu qu’étiez un financier,
Je me fusse plutôt laissé crucifier,
Que de mettre le nez où je n’ai rien à faire.
Jean, mon mari, monsieur, il est apothicaire.
Sur-tout, vive l’amour ; et bran pour les sergents.
Ardez, voire, c’est mon : je me connais en gens.
Vous êtes, je vois bien, grand abatteur de quilles ;
Mais au reste honnête homme, et payez bien les filles.
Connaissez-vous ?.. mais non ; je n’ose le nommer.
Ma foi, c’est un brave homme, et bien digne d’aimer.
Il sent toujours si bon ! Mais quoi ! vous l’iriez dire.
  Cependant, de dépit, il semble qu’on me tire
Par la queue un matou, qui m’écrit sur les reins,
Des griffes et des dents, mille alibis forains.
Comme un singe fâché j’en dis ma patenôtre ;
De rage je maugrée et le mien et le vôtre,
Et le noble vilain qui m’avait attrapé.
Mais, monsieur, me dit-elle, auriez vous point soupé ?
Je vous pri, notez l’heure. Eh bien, que vous en semble ?
Êtes-vous pas d’avis que nous couchions ensemble ?
Moi, crotté jusqu’au cul, et mouillé jusqu’à l’os,
Qui n’avais dans le lit besoin que de repos,
Je faillis à me pendre, oyant que cette lice
Effrontément ainsi me présentait la lice.
On parle de dormir ; j’y consens à regret.
La dame du logis me mène au lieu secret.
Allant, on m’entretient de Jeanne et de Macette ;
Par le vrai Dieu, que Jeanne était et claire et nette
Claire comme un bassin, nette comme un denier.
Au reste, fors monsieur, que j’étais le premier.
Pour elle, qu’elle était nièce de dame Avoie ;
Qu’elle ferait pour moi de la fausse monnoie ;
Qu’elle eût fermé sa porte à tout autre qu’à moi.
Et qu’elle m’aimait plus mille fois que le roi.
Tout branlait dessous nous, jusqu’au dernier étage.
D’échelle en échelon, comme un linot en cage,
Il fallait sauteler, et des pieds s’approcher,
Ainsi comme une chèvre en grimpant un rocher.
Après cent soubresauts nous vînmes en la chambre,
Qui n’avait pas le goût de musc, civette, ou d’ambre.
La porte en était basse, et semblait un guichet,
Qui n’avait pour serrure autre engin qu’un crochet.
Six douves de poinçon servaient d’ais et de barre,
Qui bâillant grimaçaient d’une façon bizarre.
Or, comme il plut au ciel, en trois doubles plié,
Entrant je me heurtai la caboche et le pied,
Dont je tombe en arrière, étourdi de ma chute,
Et du haut jusqu’au bas je fis la cullebutte,
De la tête et du cul comptant chaque degré.
Puisque Dieu le voulut, je pris le tout à gré.
Aussi qu’au même temps voyant choir cette dame,
Par je ne sais quel trou je lui vis jusqu’à l’âme,
Qui fit en ce beau saut, m’éclatant comme un fou,
Que je pris grand plaisir à me rompre le cou.
Au bruit Macette vint : la chandelle on apporte ;
Car la nôtre en tombant de frayeur était morte.
Dieu sait comme on la vit et derrière et devant,
Le nez sur les carreaux, et le fessier au vent ;
De quelle charité l’on soulagea sa peine.
Cependant de son long, sans pouls et sans haleine,
Le museau vermoulu, le nez écarbouillé,
Le visage de poudre et de sang tout souillé,
Sa tête découverte, où l’on ne sait que tondre,
Et lorsqu’on lui parlait qui ne pouvait répondre ;
Sans collet, sans béguin, et sans autre affiquet,
Ses mules d’un côté, de l’autre son toquet.
En ce plaisant malheur, je ne saurais vous dire
S’il en fallait pleurer, ou s’il en fallait rire.
Après cet accident trop long pour dire tout,
À deux bras on la prend, et la met-on debout :
Elle reprend courage ; elle parle, elle crie ;
Et changeant, en un rien, sa douleur en furie,
Dit à Jeanne, en mettant la main sur le rognon,
C’est, malheureuse, toi, qui me portes guignon.
À d’autres beaux discours la colère la porte.
Tant que Macette peut elle la réconforte.
Cependant je la laisse, et, la chandelle en main,
Regrimpant l’escalier, je suis mon vieux dessein.
J’entre dans ce beau lieu, plus digne de remarque
Que le riche palais d’un superbe monarque.
Étant là, je furète aux recoins plus cachés,
Où le bon Dieu voulut que, pour mes vieux péchés,
Je susse le dépit dont l’aine est forcenée,
Lorsque, trop curieuse, ou trop endemenée,
Rôdant de tous côtés, et tournant haut et bas,
Elle nous fait trouver ce qu’on ne cherche pas.
Or, en premier item, sous mes pieds je rencontre
Un chaudron ébréché, la bourse d’une montre,
Quatre boîtes d’onguents, une d’alun brûlé,
Deux gants dépariés, un manchon tout pelé ;
Trois fioles d’eau bleue, autrement d’eau seconde ;
La petite seringue, une éponge, une sonde,
Du blanc, un peu de rouge, un chiffon de rabat ;
Un balai, pour brûler en allant au sabbat ;
Une vieille lanterne, un tabouret de paille,
Qui s’était sur trois pieds sauvé de la bataille :
Et dedans un coffret qui s’ouvre avec enhan,
Je trouve des tisons du feu de la Saint-Jean,
Du sel, du pain béni, de la fougère, un cierge,
Trois dents de mort, pliés en du parchemin vierge ;
Une chauve-souris, la carcasse d’un geai ;
De la graisse de loup, et du beurre de mai.
Sur ce point Jeanne arrive, et faisant la doucette :
Qui vit céans, ma foi, n’a pas besogne faite :
Toujours à nouveau mal nous vient nouveau souci.
Je ne sais, quant à moi quel logis c’est ici :
Il n’est, par le vrai Dieu, jour ouvrier, ni fête,
Que ces carognes-là ne me rompent la tête.
Bien, bien, je m’en irai sitôt qu’il sera jour.
On trouve dans Paris d’autres maisons d’amour.
Je suis là, cependant, comme un que l’on nasarde.
Je demande que c’est. Hé ! n’y prenez pas garde,
Ce me répondit-elle ; on n’aurait jamais fait.
Mais bran, bran ; j’ai laissé là-bas mon attifet.
Toujours après souper cette vilaine crie.
Monsieur, n’est-il pas temps ? couchons-nous, je vous prie.
Cependant, elle met sur la table les draps,
Qu’en bouchons tortillés elle avait sous les bras.
Elle approche du lit, fait d’une étrange sorte :
Sur deux tréteaux boiteux se couchait une porte,
Où le lit reposait, aussi noir qu’un souillon.
Un garde-robe gras servait de pavillon ;
De couverte un rideau, qui, fuyant (vert et jaune)
Les deux extrémités, était trop court d’une aune.
Ayant considéré le tout de point en point,
Je fis vœu cette nuit de ne me coucher point,
Et de dormir sur pieds, comme un coq sur la perche.
Mais Jeanne tout en rut s’approche, et me recherche
D’amour, ou d’amitié, duquel qu’il vous plaira.
Et moi : Maudit soit-il, m’amour, qui le fera.
Polyenne pour lors me vint en la pensée,
Qui sut que vaut la femme en amour offensée,
Lorsque, par impuissance, ou par mépris, la nuit
On fausse compagnie, ou qu’on manque au déduit.
Jeanne, non moins que Circe, entre ses dent murmure,
Sinon tant de vengeance, au moins autant d’injure.
Or, pour flatter enfin son malheur et le mien,
Je dis : Quand je fais mal, c’est quand je paie bien.
Et faisant révérence à ma bonne fortune,
En la remerciant je le comptai pour une.
Jeanne, rongeant son frein, de mine s’apaisa,
Et prenant mon argent, en riant me baisa :
Non, pour ce que j’en dis, je n’en parle pas, voire,
Mon maître, pensez-vous ? J’entends bien le grimoire ;
Vous êtes honnête homme, et savez l’entregent.
Mais, monsieur, croyez-vous que ce soit pour l’argent ? 
J’en fais autant d’état comme de chènevottes.
Non, ma foi, j’ai encore un demi-ceint, deux cottes,
Une robe de serge, un chaperon, deux bas,
Trois chemises de lin, six mouchoirs, deux rabats,
Et ma chambre garnie auprès de Saint-Eustache.
Pourtant, je ne veux pas que mon mari le sache.
Disant ceci, toujours son lit elle brassait,
Et les linceuls trop courts par les pieds tirassait ;
Et fit à la fin tant, par sa façon adroite,
Qu’elle les fit venir à moitié de la coite.
Comme son lit est fait : Que ne vous couchez-vous ?
Monsieur, n’est-il pas temps ? Et moi de filer doux.
Sur ce point elle vient, me prend et me détache,
Et le pourpoint du dos par force elle m’arrache.
À la fin je pris cœur, résolu d’endurer
Ce qui pouvait venir, sans me désespérer.
Qui fait une folie, il la doit faire entière :
Je détache un soulier, je m’ôte une jartière,
Froidement toutefois ; et semble, en ce coucher,
Un enfant qu’un pédant contraint se détacher ;
Que la peur tout ensemble éperonne et retarde :
À chacune aiguillette il se fâche, et regarde,
Les yeux couverts de pleurs, le visage d’ennui,
Si la grâce du ciel ne descend point sur lui.
L’on heurte sur ce point ; Catherine on appelle.
Jeanne, pour ne répondre, éteignit la chandelle.
Personne ne dit mot. L’on refrappe plus fort,
Et faisait-on du bruit pour réveiller un mort.
À chaque coup de pied toute la maison tremble,
Et semble que le faîte à la cave s’assemble.
Bagasse, ouvriras-tu ? C’est celui-ci, c’est mon.
Jeanne, ce temps pendant, me faisait un sermon :
Que diable aussi, pourquoi ? que voulez-vous qu’on fasse ?
Que ne vous couchiez-vous ? Ces gens, de la menace
Venant à la prière, essayaient tout moyen.
Ore ils parlent soldat, et ores citoyen.
Ils contrefont le guet ; et de voix magistrale :
Ouvrez, de par le roi. Au diable un qui dévale.
Un chacun, sans parler, se tient clos et couvert.
Or, comme à coups de pieds l’huis s’était presque ouvert,
Tout de bon le guet vint. La quenaille fait gille.
Et moi, qui jusques là demeurais immobile,
Attendant étonné le succès de l’assaut,
Ce pensai-je, il est temps que je gagne le haut,
Et, troussant mon paquet, de sauver ma personne.
Je me veux rhabiller, je cherche, je tâtonne,
Plus étourdi de peur que n’est un hanneton.
Mais quoi ! plus on se hâte, et moins avance-t-on.
Tout, comme par dépit, se trouvait sous ma patte.
Au lieu de mon chapeau je prends une savate ;
Pour mon pourpoint, ses bas ; pour mes bas, son collet ;
Pour mes gants, ses souliers ; pour les miens, un ballet.
Il semblait que le diable eût fait ce tripotage.
Or Jeanne me disait, pour me donner courage
Si mon compère Pierre est de garde aujourd’hui,
Non, ne vous fâchez point, vous n’aurez point d’ennui.
Cependant, sans délai, messieurs frappent ni maître.
On crie, Patience ; on ouvre la fenêtre.
Or, sans plus m’amuser après le contenu,
Je descends doucement, pied chaussé, l’autre nu ;
Et me tapis d’aguet derrière une muraille.
On ouvre, et brusquement entra cette quenaille,
En humeur de nous faire un assez mauvais tour.
Et moi, qui ne leur dis ni bon soir, ni bon jour,
Les voyant tous passés, je me sentis allègre :
Lors, dispos du talon, je vais comme un chat maigre,
J’enfile la venelle ; et, tout léger d’effroi,
Je cours un fort long temps sans voir derrière moi.
Jusqu’à tant que trouvant du mortier, de la terre,
Dubois, des estançons, maints plâtras, mainte pierre
Je me sentis plutôt au mortier embourbé,
Que je ne m’aperçus que je fusse tombé.
On ne peut éviter ce que le ciel ordonne.
Mon âme cependant de colère frissonne ;
Et prenant, s’elle eût pu, le destin à parti,
De dépit, à son nez, elle l’eût démenti ;
Et m’assure qu’il eût réparé mon dommage.
Comme je fus sur pieds, enduit comme une image,
J’entendis qu’on parlait ; et, marchant à grands pas,
Qu’on disait : Hâtons-nous ; je l’ai laissé fort bas.
Je m’approche, je vois, désireux de connaître.
Au lieu d’un médecin, il lui faudrait un prêtre,
Dit l’autre, puisqu’il est si proche de sa fin.
Comment ! dit le valet, êtes-vous médecin ?
Monsieur, pardonnez-moi, le curé je demande.
Il s’en court, et disant, à Dieu me recommande,
Il laisse là monsieur, fâché d’être déçu.
Or comme, allant toujours, de près je l’aperçu,
Je connus que c’était notre ami, je l’approche :
Il me regarde au nez, et riant me reproche,
Sans flambeau, l’heure indue ! et de près me voyant
Fangeux comme un pourceau, le visage effrayant,
Le manteau sous le bras, la façon assoupie :
Êtes-vous travaillé de la lycanthropie ?
Dit-il, en me prenant pour me tâter le pouls.
Et vous, dis-je, monsieur, quelle fièvre avez-vous ?
Vous, qui tranchez du sage ainsi parmi la rue !
Faites-vous sur un pied toute la nuit la grue ?
Il voulut me conter comme on l’avait pipé,
Qu’un valet, du sommeil ou de vin occupé,
Sous couleur d’aller voir une femme malade,
L’avait galantement payé d’une cassade.
Il nous faisait bon voir tous deux bien étonnés,
Avant jour par la rue, avec un pied de nez ;
Lui, pour s’être levé, espérant deux pistoles,
Et moi, tout las d’avoir reçu tant de bricoles.
Il se met en discours, je le laisse en riant.
Aussi que je voyais aux rives d’Orient,
Que l’Aurore, s’ornant de safran et de roses,
Se faisant voir à tous, faisait voir toutes choses,
Ne voulant, pour mourir, qu’une telle beauté
Me vît, en se levant, si sale et si crotté :
Elle qui ne m’a vu qu’en mes habits de fête.
Je cours à mon logis ; je heurte, je tempête ;
Et croyez à frapper que je n’étais perclus.
On m’ouvre ; et mon valet ne me reconnaît plus.
Monsieur n’est pas ici : que diable ! à si bonne heure !
Vous frappez comme un sourd. Quelque temps je demeure.
Je le vois ; il me voit, et demande, étonné,
Si le Moine-bourru m’avait point promené.
Dieu ! comme êtes-vous fait ! Il va : moi de le suivre ;
Et me parle en riant, comme si je fusse ivre.
Il m’allume du feu, dans mon lit je me mets,
Avec vœu, si je puis, de n’y tomber jamais,
Ayant à mes dépens appris cette sentence :
Qui gai fait une erreur, la boit à repentance,
Et que quand on se frotte avec les courtisans.
Les branles de sortie en sont fort déplaisants.
Plus on pénètre en eux, plus on sent le remeugle.
Et qui, troublé d’ardeur, entre au bordel aveugle,
Quand il en sort, il a plus d’yeux, et plus aigus,
Que Lyncé l’argonaute, ou le jaloux Argus.
 

Commentaire (s)
Déposé par Boué Serge le 25 novembre 2015 à 14h12


"La dame du logis me mène au lieu secret..."
Avez-vous remarqué que ...
Baudelaire dans Mlle Bistouri (Speen de Paris- Livre de Poche Classique) rend hommage à M. Régnier, poète qu’il appréciait (comme un autre frère ?) et
semble faire allusion précisément à cette satire XI (ou à d’autres, selon les commentateurs) pour son humour noir et  la description du taudis que constitue ce bordel ?

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