Ma seule amour que tant désire,
Mon réconfort, mon doux penser,
Belle, nonpareille, sans pair,
Il me déplaît de vous écrire.
Car j’aimasse mieux à le dire
De bouche, sans le vous mander,
Ma seule amour que tant désire,
Mon réconfort, mon doux penser.
Las ! or n’y puis-je contredire ;
Mais Espoir me fait endurer,
Qui m’as promis de retourner
En liesse mon grief martyre.
Ma seule amour que tant désire...
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Mon florilège
(Tоuriste)
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