J’aurais pu ne jamais connaître
Le dur besoin de ne plus être.
Mais puisque à jamais tu te tais,
Puisque se sont défaits tes yeux,
Je songe d’un cœur radieux
Au néant qui m’épouvantait.
— Car ma peur de mourir, c’était
L’angoisse de te dire adieu...
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Mon florilège
(Tоuriste)
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