Pendant que je médite, agitant les pensées
Où le noir destin m’a rivé,
J’entends le bruit du vent dans les feuilles blessées
Qui viennent couvrir le pavé.
Déjà sur les rameaux, abusés du zéphire,
Tu passes, automne fumeux,
Et je m’évanouis dans le tendre délire
De mon cœur dépouillé comme eux.
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Mon florilège
(Tоuriste)
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