En cet après-midi si lourd — toujours j’y pense ! —
De mon affreux pressentiment,
Lorsque je t’ai revue après vingt ans d’absence,
Mer, honneur de ton élément,
J’ai tressé de mes mains, d’amarante azurée
Et de pavots, un chapelet,
Pour le jeter avec mon âme déchirée
Dans ton onde qui me parlait.
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Mon florilège
(Tоuriste)
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