Le temps, par qui tout se consume,
Sous cette pierre a mis le corps
De l’Arétin de qui la plume
Blessa les vivants et les morts ;
Son encre noircit la mémoire
Des monarques de qui la gloire
Était indigne du trépas ;
Et s’il n’a pas contre Dieu même
Vomi quelque horrible blasphème,
C’est qu’il ne le connaissait pas.
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(Tоuriste)
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