Commentaire (s)
Déposé par Aramiws le 13 février 2019 à 14h43
Levet et non Levey
"sûre" avec un e
Merci de corriger
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Déposé par Le Gardien le 14 février 2019 à 21h02
Merci pour le "sûre" !
Par contre l’auteur a toujours signé ses textes Levey (ou Leveÿ). Ses éditeurs posthumes ont cru bon de lui redonner son nom de naissance, on ne sait pourquoi...
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Déposé par Aramis le 20 février 2019 à 12h08
C’est exact, mais pensez au lycéen qui cherche vainement Levey dans un site de vente en ligne, sur la toile ou dans un fichier de bibliothèque. puisque toutes les éditions portent le nom de Levet.
Cordialement
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Déposé par Aramis le 21 février 2019 à 12h37
"Ni les courses à cheval dans la pampa" est, si j’ose dire, un vers boiteux. Personne ne relève cette particularité. Qu’en pensez-vous?
La Plata aujourd’hui, tout en or et en braise,
Le consul a dit oui à Lolita Valdez.
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Déposé par Dartagniang le 21 février 2019 à 13h33
Oui, ce poème souffre de pieds bots, c’est clair !
Outre celui mentionné par Aramis, on peut noter :
N’ont le pouvoir de distraire de son spleen (11)
Que Lolita Valdez le regarde en souriant, (13)
Mais on ne compte plus les entorses à la prosodie classique qui auront été commises par l’auteur dans ces 4 quatrains !
- rimes masculines en désaccord avec les rimes féminines
- non élisions des mots en E caduc final suivies de mots débutant par une consonne (traversée_d’un fatal ; manie_de l’opium ; la vie_sauvage ; Ravagée par)
- césures libres
Je pense qu’il faut peut-être s’affranchir de toutes ces règles et accepter la structure anarchique des vers, prendre en considération les images et le sonorités.
Après tout, Levey (Levet pour l’état civil) n’a jamais fait partie d’un quelconque mouvement parnassien !
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Déposé par Aramis le 22 février 2019 à 16h24
Qu’il élude un e suivi d’une consonne, qu’il prenne des libertés avec les diérèses ne me gène pas, D’autres grands poètes l’ont fait (ex. Apollinaire dans Mariizibill:
"Très tard dans les brasseries borgnes," ou
"Tirée d’un bordel de Changaï")
En revanche,je ne suis pas à l’aise avec les alexandrins de 11 syllabes :
Voir Nice :"Là-bas, dans la Nouvelle Galles du Sud"
Et cependant, Levet reste un des poètes que j’emporterais dans l’île déserte.
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Déposé par Curare- le 22 février 2019 à 17h36
En 2024, il y aura les jeux olympiques & virtuels
Et puis le breakdance
et aussi le surf . .
Je surfe sur ton site, Aramis multi-troll,
Enquiquineur de mon cochon-poète
mais les rimes d’antan
Ne te nourriront pas sur ton île
La prosodie était comme le vin
Pour la part des Anges -
Mais je l’aimerai pour toujours mon amour de la poésie
Ce cadeau de la vie :
’’Celui d’aimer un rimeur merveilleux doté d’une force sagesse à toute épreuve’’ -
Pauvre Aramis et ses imprécations ennuyeuses . .
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Déposé par Aramis le 23 février 2019 à 13h57
Quel mouche (des tropiques bien sûr) vous pique.?
Pour vous détendre je vous envoie ce poème peu connu de Levet-
Henry Jean-Marie Levet
Batavia - Marseille
L’ex Consul général en poste à Batavia,
Dans sa cabine à bord du « Ville-de-Strasbourg »,
Soigne son paludisme et son fatal amour
A la pipe d’opium et au gin quinquina.
Il n’a pas oublié la claire vérandah
Ni le sarong pistache -au juste mandarine ?-
D’une femme -quand tout embaumait la résine-
Déclamant des pantoums sur un air triste et las.
Lointain et assourdi, le râle d’un panka
Masque le rire aigu de Miss Rose Dewaere
Qui danse le fox-trot sur le pont des premières.
A Marseille, hôpital de la Conception, là
Où Arthur Rimbaud meurt d’un ostéosarcome,
Diplomatiquement, on attend le vieil homme.
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Déposé par MadameConnasse le 23 février 2019 à 14h54
Elle esquive
Esquisse
L’écho des mots
Se détendre et s’entendre
C’est tendre . .
Amoureuse d’un tout !
Marre des rimes Sir Aramis !
Et elle se contredit . . allez !
(Vous aimez bien les parenthèses) . .
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Déposé par Aramis le 23 février 2019 à 17h32
Les bras m’en tombent, votre prose, chère Madame Connasse, est incompréhensible. Pour remonter dans les classements Pisa, il y aura encore du travail .Tout le monde ne peut pas écrire comme Madame du Deffand, je sais, mais quand même, faites un effort...
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Déposé par Malvina le 23 février 2019 à 19h18
J’avoue je vous avoue ..
Quand je pense je chante
Quand j’écris je déchante
J’avoue je vous avoue . .
Je préfère lire
Faites-nous donc partager votre poésie Sir Aramis
Ainsi donc, las, désœuvrée,
’’la vie me lasse’’
J’abandonne ce pseudo qui n’est guère enchanteur
Certes Aramis,
j’eusse aimé vivre au temps de cette libertine et rétive dame ..
A vrai dire,
Lit-on-encore de belles choses en poésie
Hormis les sonnets de Cochonfucius ?
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Déposé par Aramis le 24 février 2019 à 00h37
Chère Malvina, j’ai écrit cette bluette pour vous. Soyez indulgente, je manque de métier, je suis en terminale à Louis-Le-Grand.
La chère nue
Insulte encor
Le nombre d’or,
Sans retenue.
Voile, Faustine,
Ta rose noire
Que l’ombre moire
D’aventurine.
La Parque pose
Pour Praxitèle,
A Bagatelle,
Parmi les roses.
Gaumont-Palace
1913,
J’ai pris deux chaises
Pour Fantômas.
………………..
Hé! Proserpine,
Mets les couverts,
Deux poivre vert
Et des chopines.
…………………
Epitaphe
Il aimait tant
ce qui n’est plus
Qu’il a déplu,
A contretemps
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Déposé par Esprit de celle le 24 février 2019 à 09h19
Sir Aramis
Éternel Allis
De nulle part
Sacré lascar _
En phase terminale
Ton entre soi annale
Fait force d’utopie
A ma mélancolie__
La temporalité
Dans la continuité
De notre ingénuité
A se courir après__
L’émergence est ici
Non pas dans le précis
D’internet la science
Mais de la prescience-
Épitaphe : Confusion-
C- Celle de personne_
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