Revenez, charmante verdure,
Faites régner l’ombrage et l’amour dans nos bois.
À quoi s’amuse la nature ?
Tout est encor glacé dans le plus beau des mois.
Si je viens vous presser de couvrir ce bocage,
Ce n’est que pour cacher aux regards des jaloux
Les pleurs que je répands pour un berger volage.
Ah ! je n’aurai jamais d’autre besoin de vous.
Commentaire (s)
Votre commentaire :
Mon florilège
(Tоuriste)
(Les textes et les auteurs que vous aurez notés apparaîtront dans cette zone.)