Triomphez, aimable printemps,
Du long et triste hiver qui désole nos champs,
Et redonnez à nos bocages
En faveur des heureux amants,
De verts gazons, d’épais feuillages.
Qu’une agréable nuit règne au milieu du jour,
Et cachez les tendres mystères :
Revenez, hâtez-vous hélas ! votre retour
Est peut-être attendu par cent bergères.
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(Tоuriste)
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