Comme j’allais, couvert de la poussière du voyage,
Heurtant aux pierres mes sandales,
Vous étiez au balcon que les glycines automnales
Enguirlandent de leur feuillage.
Et vous étiez si calme parmi l’ombre,
Votre visage était si pur
En ce crépuscule d’octobre,
Que je sentais sur mon épaule
Se nouer un manteau d’azur,
Et que, dans ma poitrine, en secouant des étincelles,
Mon cœur ivre battait des ailes.
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Mon florilège
(Tоuriste)
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