Monde, pourquoi fuis-tu ? pour chercher assurance.
Et si ce n’est en toi, où la trouveras-tu ?
Où le Monde n’est pas du monde combattu.
Le Monde se fait-il à soi-mêmes offense ?
Oui trop, car en la terre, au feu, en l’air, en l’onde
Le monde s’occit, s’ard et se noie, et se pend.
Monde, fuis donc au ciel : car fol est qui s’attend
D’ancrer sa nef flottante en l’Euripe du Monde.
Commentaire (s)
Votre commentaire :
Mon florilège
(Tоuriste)
(Les textes et les auteurs que vous aurez notés apparaîtront dans cette zone.)