Dans ce grand univers, comme tu l’as pu voir,
Tout est travail, lecteur, et souffrance et devoir,
De ces nécessités de l’humaine existence,
J’accomplis la plus triste, ô lecteur ! la souffrance !
La souffrance sans but, hélas ! sans avenir,
La souffrance inutile et qui ne peut finir.
Et dans ses bras de plomb, se voyant seule et nue,
Mon âme, à cet aspect, de frayeur diminue ;
Et la nuit et le jour je me sens défaillir,
Comme celui qui croit qu’il va bientôt mourir.
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Mon florilège
(Tоuriste)
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