Assignée à son cercle, au grand jamais l’étoile
Ne dit au vaste ciel que c’est source d’ennui,
Ni ne craint de devoir travailler à minuit
Sous l’oeil de l’astronome habillé d’humble toile.
Pour traverser le fleuve, emprunte le bateau ;
Le traînant sur le sol, tu prêterais à rire.
La chose que tu sais, nul besoin de la dire,
Les gens la connaîtront toujours bien assez tôt.
N’encombre ton logis de multiples chemises ;
Trouvant un bon morceau, n’en prends que la moitié.
Ciel et Terre n’ont point la vertu de pitié ;
Pour l’humain, certains jours, elle n’est point de mise.