Je songe, chaque fois que le dégoût m’accable
D’un retour importun,
Aux pâles frêles lys qui poussent dans le sable
Et que nourrit l’embrun,
À la plainte que font les barques, lorsque fouette
La tempête en sanglots,
Au cap baigné d’écume, aux cris de la mouette
Qui vole au ras des flots.
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Mon florilège
(Tоuriste)
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