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De Cochonfucius sur Tristesse d’été (Mallarmé)
Un feu tiède
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Je suis une flamme endormie,
Un brasier presque ténébreux ;
La nuit d’hiver est mon amie,
Don j’aime les...

De Cochonfucius sur Sonnet à Madame M.N. : «Quand, par un jour de pluie, un oiseau de passage...» (Musset)
Porte vers le lointain
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Je suis un ténébreux passage,
Je m’ouvre vers des coins perdus ;
Jamais nul porteur de messages
En...

De Vincent sur Tombeau du Poète (Deubel)
Psychiatrie

Grand panorama d’amour
Que celui du psychiatre,
Où il a une envie folle
d’un jour qui
ne viendra jamais
parce que le...

De Cochonfucius sur «Qui veut voir ici-bas un Astre reluisant...» (Birague)
Matière, antimatière
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Deux sortes de corps, s’opposant,
De matière et d’antimatière ;
Nous n’avons que peu de lumières
Sur...

De Cochonfucius sur «Voulez-vous voir ce trait qui si roide s’élance...» (Sponde)
Apprenante
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Dans des lectures je me lance,
Je veux m’instruire, c’est humain ;
Je lis ce que j’ai sous  la main,
Sur fond de...

De Jadis sur Tristesse (Renard)

Gloomy Sunday
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Dans le matin blafard, on se mouche et l’on tousse,
Rien à voir au-dehors, l’air s’est bien...

De Cochonfucius sur Tombeau du Poète (Deubel)
Vestale architecte
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Je planifie et j’aménage,
Je crée de magiques décors ;
Des églises, des châteaux forts
Et des tours,...

De Cochonfucius sur Stymphale (Heredia)
Dieu bleu
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Je suis plus beau qu’un bel oiseau,
Car ma splendeur est infernale ;
Ma sagesse est originale,
Venant de cent...

De Jadis sur Les Perroquets du Jardin des Plantes (Coppée)

L’épais roquet (histoire insolente)
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Mon biplan avait du retard à l’allumage ;
J’appuyais comme un fou sur le...

De Cochonfucius sur Les Arbres (Vivien)
Arbres sans nom
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Qui nous connaît ici ? personne,
Pas même me les plus grands savants ;
Ni la rivière, ni le vent,
Rien de...

De Jadis sur «Avec ses vêtements ondoyants et nacrés...» (Baudelaire)

Les Belles Histoires de l’Oncle Paul
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Mon canot se trouvait au Guilvinec ancré.
Je ne songeais alors qu’avec...

De Cochonfucius sur Sur le Soleil (Drelincourt)
Porteur de soleil
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Je transporte l’astre du jour,
Je suis un offreur de lumière ;
Ma place, qui est la première,
Je l’ai...

De Jadis sur «À l’ombre d’un rocher, sur le bord d’un ruisseau...» (Scarron)

Je contemplais dans l’ombre à loisir ses cuissots ;
Repu et satisfait, je songeais à Verlaine
Qui épousa Mathilde en rêvant à...

De Cochonfucius sur «Le roy s’en est allé...» (Scarron)
Monarque de sable
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Le ciel est sombre et moi aussi,
Je ne veux recevoir nul hôte ;
Je reste à ruminer mes...

De Jadis sur «Le petit employé de la poste restante...» (Villard)

Le gérant n’est pas là ; reste son assistante
qui m’épie et m’adresse une moue insolente.
Et je me dis qu’à deux, nous pourrions nous...

De Cochonfucius sur «Mon âme a son secret, ma vie a son mystère...» (Arvers)
Floraison de janvier
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Fleur hivernale, un beau mystère,
Et nullement inaperçu ;
Le givre a recouvert la terre
Ainsi qu’un...

De Jadis sur Le Goût du Néant (Baudelaire)

Bagou malséant
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Ce poème est charmant, là, Charles, vous m’émûtes,
Enfoncé, ce Schubert, et ses piteux...

De Cochonfucius sur «Lorsque la brune nuit charge sa robe noire...» (Goulart)
Noir loup
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Oui, je suis une bête noire,
Cela  ne fut jamais caché ;
Mon nom n’en est pas entaché,
Car c’est presque un titre...

De Jadis sur Sur la mort de son fils (Malherbe)

N’y voyez pas malice
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Je pensais peu de bien de ce Vandemoortele
(J’étais rendu à Gand, en passant par Francfort) :
Ses...

De Cochonfucius sur «Un grand voile obscurci parmi l’air s’étendait...» (Nuysement)
Hyperpalmipède
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Je suis un emplumé landais,
Une chimère saugrenue ;
Ma nature est-elle connue ?
Ma foi, je me le...

De Jadis sur Le Centaure (Jacob)

Sur une route de Bretagne
Je l’ai croisé : il est fort laid.
Il a le crin couleur champagne
Et les naseaux café au lait.

Est-ce un...

De Cochonfucius sur Sonnet : «Je voudrais, en groupant des souvenirs divers...» (Cros)
Vert loup
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Je goûte des plaisirs divers,
Je sui  un animal rustique :
Libre et nullement domestique,
Chers amis, je sui le...

De Cochonfucius sur «Lettre, je te reçois, que ma Déesse en terre...» (Ronsard)
Abondance précaire
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Sortilège déficitaire,
Corne aux pouvoirs très imprécis ;
C’est vraiment le désordre ici,
La magie ne...

De Cochonfucius sur «Magnifiques mondains...» (Favre)
Crosse de sinople
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L’évêque est proche du Saint Père,
Ces deux-là sont souvent d’accord ;
L’évêque est heureux de son...

De Cochonfucius sur «Heureux, loin de Paris, d’errer en ce doux lieu...» (Sainte-Beuve)
Loin de Roncevaux
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J’ai pu quitter ce sombre lieu,
Sauvé par une noble dame ;
Ayant vu Roland rendre l’âme,
Elle...

De Cochonfucius sur Anatomie (Gilkin)
Vestale  vaillante
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Je sais que la vie n’est pas rose,
Car i faut surmonter le mal ;
Il faut donc en trouver la...

De Cochonfucius sur «Bien qu’aux arts d’Apollon le vulgaire n’aspire...» (Du Bellay)
Dragon bricoleur
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Tout m’intéresse et tout m’inspire,
De mille détails je prends soin ;
Ça me réussit plus ou...

De Cochonfucius sur Sonnet d’autrefois (Clifford Barney)
Locomotive d’autrefois
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Du passé je peux m’émouvoir,
De mes errances machinales ;
C’est un flot d’images...

De Cochonfucius sur À M.V.H. : «Il faut, dans ce bas monde, aimer beaucoup de choses...» (Musset)
Main d’archéologue
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Voilà, j’ai trouvé quelque chose,
Je ne saurais pas trouver mieux ;
Une pierre qui vent des cieux,
Presque...

De Xi’an sur «Mon âme paisible était pareille autrefois...» (Toulet)
En ce mètre déroutant,
Avant que de se mettre à haïkuker,
Le Maître débutait......

De Jadis sur Prafande (Warnery)

À chaque fois plus vieux, plus lourd et plus blasé,
Je m’attarde à l’écart, muet, loin de la foule ;
Ressassant ma folie et mes espoirs...

De Cochonfucius sur L’Ange pâle (Rollinat)
Loup pâle
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Je plaisante en vers et en prose,
C’est juste pour vous amuser ;
Je drague la licorne rose
Qui me trouve bien...

De Jadis sur «De feu, d’horreur, de mort, de peine, de ruine...» (Béroalde)

P.P.H.
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Mes sphincters m’ont lâché, je baigne dans l’urine,
J’ai oublié comment il faut s’alimenter ;
Et pourtant je crois...

De Cochonfucius sur Baiser rose, baiser bleu (Gautier)
Ambiphant bleu
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Je suis une humble créature,
Pas très utile, en vérité ;
Mon corps est une étrangeté,
Un caprice de la...

De Jadis sur «Je ne sais pas...» (Jarry)

Mon frère m’a ‒ démarche malpolie ‒
Transmis hier un courrier véhément.
En franchissant la Porte d’Italie,
Je ruminais ce...

De Cochonfucius sur «Celle qui est au vif de quelque amour atteinte...» (Jodelle)
Belette vive
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Cupidon m’a parfois atteinte,
Je m’en sortis à peu de frais ;
J’ai juste pris ce qu’on m’offrait
Sans ressentir...

De Jadis sur «Mon âme paisible était pareille autrefois...» (Toulet)

Ce poème déconne, on y trouve parfois
Des vers trop longs, trop courts, pas du tout identiques ;
Et même un tridécasyllabe, alors je...

De Cochonfucius sur «Obscur vallon, montagne sourcilleuse...» (La Roque)
Auteur pensif
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Je cherche des sujets, je creuse,
J’explore  aussi quelques réseaux :
J’interroge chêne et roseau,
Mais...

De Jadis sur À Arthur Rimbaud, I (Verlaine)

Allons, c’est à mon tour, je reprends le flambeau !
Gribouillant comme un dieu, je parle comme un livre ;
Veuillez des bouts de gras...

De Jadis sur «Toute allégresse a son défaut...» (Toulet)

Je me tiendrai donc comme il faut
       Car je veux qu’elle m’aime.
J’aime bien rire, mais quand même,
       Je ne ris pas trop...

De Jadis sur Épitaphe (Scarron)

Le goulafre
---------------

Insatiable conquistador,
Alors que la table est servie,
Je traîne, au bout du corridor,
Une fringale...

De Jadis sur «Tout jugement de celle infinité...» (Scève)


Dans ce bouchon, où le petit salé
Plaît au palais du gone et du gnolu,
Tout est cher bon, fameux, sans me vanter :
Mâchon, gratons,...

De La Muserante sur Contre Ligurinus : «Tout le monde te fuit...» (Dubos)
C’est vrai qu’on
Ne peut pas
Plaire
À tout
Le monde
Bouh..
Il m’a soûlé ..
Merci Christian

Je comprends pourquoi il ne répond...

De Christian sur Contre Ligurinus : «Tout le monde te fuit...» (Dubos)
Tout le monde te fuit ; à table ou au spectacle,
Partout où tu parais, partout c’est la débâcle.
À peine il t’aperçoit, l’humain prend...

De Vincent sur «Un soir, le long de l’eau, elle marchait pensive...» (Durant de la Bergerie)
Je suis d’accord avec toi au moins sur ce point, c’est une chance que de rencontrer Cochonfucius, cela importe moins de le faire de visu...

De Jadis sur Petit pastiche de Mme de Noailles (Proust)

Petit pastiche de M. Proust
-----------

Il est temps, mes amis, d’entonner la complainte
De ce modeste abri, rustique, un peu...

De Cochonfucius sur «Ce siècle, où tu naquis, ne te connaît, Hélène....» (Ronsard)
Porte vers  un nouveau quart de siècle
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Voici venir l’année prochaine,
C’est là que va notre chemin...

De Curare- sur «Un soir, le long de l’eau, elle marchait pensive...» (Durant de la Bergerie)
Snobisme ?

C’est 1 étiquette où l’on jette l’opprobre à une personne que l’on n’arrive à cerner ?  

Snobisme . .

Je suis née...

De Jadis sur À un absent (Toulet)

Exposant nonchalant de quelque Foire aux Livres,
J’avisai, devant moi, ce grêle jouvenceau ;
Il ne pesait pas plus de quatre-vingt-dix...

De Vincent sur «Un soir, le long de l’eau, elle marchait pensive...» (Durant de la Bergerie)
Curare

De la moindre ponctuation,
Elle fait l’évacuation.
Cela procède du snobisme,
Selon mon évaluation....

De Cochonfucius sur «Yeux, qui versez en l’âme, ainsi que deux Planètes...» (Ronsard)
Oiseau pèlerin
-------

Je vais au bout de la planète,
C’est pour rencontrer des dieux morts ;
J’exerce mon âme et mon corps
À...

De Jadis sur Le Prisonnier (Heredia)

Le Résigné
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Bien que vieil immigré casanier et chômeur,
Une envie de grand air me gratte et me démange ;
Alors, sans...

De Jadis sur Les Après-midi d’automne (Laforgue)

Tandis que mon frichti modestement mitonne,
À l’étage au-dessus, les voisins saucissonnent.
En hommage à Verdi, ‘Libiamo’, qu’on...

De Cochonfucius sur «Le temps léger s’enfuit sans m’en apercevoir...» (Desportes)
Nef légère
--------

C’est la nef la plus belle à voir,
Cela me laisse sans paroles ;
Quand elle navigue, elle vole,
Qui sait d’où...

De Jadis sur Une grande dame (Verlaine)

Ne croyez pas que faire en ces lieux le gugusse
M’apporte le bonheur tout spécialement ;
Je pourrais aussi bien, pour mon...

De Cochonfucius sur Sonnet en pensant à Daniel Halévy pendant qu’on marque les absents (Proust)
Bélier pensant
----------

J’énonce des choses  brillantes,
Mais sans bien capter leur éclat ;
Un jour, j’ai fait rire un...

De Jadis sur «Mes bouquins refermés sur le nom de Paphos...» (Mallarmé)

Je suis un peu rêveur ‒ c’est mon moindre défaut ‒
Et comme le dirait ma copine Eugénie,
Quand on veut échapper à la...

De Cochonfucius sur «Les lys me semblent noirs...» (Aubigné)
Bel oiseau noir
----------

Agréable est mon apparence,
C’est comme un habit de danseur ;
Je ne suis pas un grand penseur
Mais bon,...

De Jadis sur «Un soir, le long de l’eau, elle marchait pensive...» (Durant de la Bergerie)

La savane était morne au soir de l’offensive.
Partout, aux alentours, des morts et des blessés,
Des cadavres blafards, tout de dards...

De Cochonfucius sur Fleur d’Art (Corbière)
Fleur blanche
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Je ne suis qu’une fleur sans gloire,
Personne ici ne me connaît ;
Rien sur moi, pas même un sonnet,
Mon...

De Jadis sur Nocturne (Laforgue)

Critique littéraire
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Si j’escomptais, hélas, m’éblouir en lisant
Le scénario brillant de ce « Voyant d’Étampes...

De Jadis sur Le Violon brisé (Nelligan)

Céladon dégrisé
---------------------

Les pas des amants désunis
S’effacent, voilés de tristesse ;
Elle était un peu poétesse
Et...

De Jadis sur «Je rêve, tant Paris m’est parfois un enfer...» (Coppée)

Je rêve aussi, mais moi, plutôt de Jennifer,
Et de son antre où j’ai pourtant beaucoup souffert.
Car, si je l’y couchais fréquemment...

De Jadis sur «Je veux lire en trois jours l’Iliade d’Homère...» (Ronsard)

Mais le voilà, ce Dieu, oh là là, aïe ma mère !
Perfide et doucereux comme un chat siamois,
Il m’a fixé d’un air grave et leste à la...

De Jadis sur La Pomme (Delarue-Mardrus)

Délirium
-----------

C’était je ne sais où, dans ce bled que l’on nomme
Péronne ou Montdidier, quelque part dans la Somme,
Donc à...

De Xi’an sur Le Cygne (Renard)
La blancheur y est et la ligne
/*ici deux-tiers d’alexandrins*/...
Certains croiraient y voir un cygne,
c’est un canard coureur indien...

De Jadis sur Il fera longtemps clair ce soir... (Noailles)

La mare est attirante, une grenouille y plonge,
Le décor est charmant, le cadre la séduit ;
Déjà, négligemment, pour tromper son...

De Jadis sur L’Amour (Noailles)

Sur mon scooter à quatre temps,
Heureux d’aérer mon museau,
Je progressais, fier et content,
Et faisais bien gaffe à mes os.

Mais,...

De Curare- sur «Sainte Thérèse veut que la Pauvreté soit...» (Verlaine)
Admirable !

Sans l’absinthe
et la part des anges
nul délire en ce monde
autant savouré
que ce met
Poésie . .
Merci Xi’an....

De Xi’an sur «Sainte Thérèse veut que la Pauvreté soit...» (Verlaine)
En fait, c’est plus subtil. Il y a une rime “androgyne” entre les deux quatrains (soit/voie) et entre les deux premiers vers des tercets....

De Le Prote sur «Sainte Thérèse veut que la Pauvreté soit...» (Verlaine)
Rime étrange, mais authentifiée de la main du Verlain :

https://www.autographes-des-siecles.com/produit/paul-verlaine-poeme-autographe-si...

De Poélicier sur «Amours jumeaux, d’une flamme jumelle...» (Passerat)
On entend comme un pied rebelle au cinquième......

De Curare- sur «Un soir, le long de l’eau, elle marchait pensive...» (Durant de la Bergerie)
Pour la ponctuation, on s’en fout !
Pour la vie pour Trump pour Macron pour cette vie
On s’en fout !
De ton analyse on s’en fout aussi...

De Vincent sur «Un soir, le long de l’eau, elle marchait pensive...» (Durant de la Bergerie)
Pour la ponctuation, je trouve qu’elle rend la lecture plus fluide. Prevert est une référence en matière de poésie ce qui ne l’a sans doute...

De Curare_ sur «Un soir, le long de l’eau, elle marchait pensive...» (Durant de la Bergerie)
Cher Vincent

Ravie de vous lire en ce lieu

Je n’ai rien inventé

Voir Prévert et la ponctuation . .

Ce poème a été écrit il y...

De Ben sur «Margot, en vous peignant, je vous pince sans rire...» (Sigogne)
Cher Cochonfucius,

’Soyez sage avec votre image’ m’a dit 1 jour le génie . .

Par où s’envolent les âmes rieuses ?   ...

De Vincent sur «Un soir, le long de l’eau, elle marchait pensive...» (Durant de la Bergerie)
Merci curare, c’est très beau (bien que ça manque de ponctuation) mais comment sais-tu que j’aime la randonnée...

De Lebrun sur «Je rêve, tant Paris m’est parfois un enfer...» (Coppée)
Maîtresse, Amis, faisaient mon bien suprême ;
Je l’avoûrai ; je croyais comme un Sot
Avoir la chose, et n’avais que le mot ;
Car à...

De Rozès sur Le Cinéma (Sicaud)
Quelle fraicheur !C’est touchant, plus profond qu’il ne paraît. ...

De Curare- sur «Un soir, le long de l’eau, elle marchait pensive...» (Durant de la Bergerie)
La dame du lac

Près des eaux endormies la muse assise lit
Les Judas d’Orviétan puis 1 feu d’artifice
En éclat automnal s’accorde 1...

De GOUUAUX sur «J’étais à toi peut-être avant de t’avoir vu...» (Desbordes-Valmore)
Elégie  "j’étais à toi..." je me reconnais en ce doux poème, mon cœur bat la chamade à chacune de mes lectures ; je ne m’en lasse pas,...

De Rozès sur Répétition (Vaucaire)
Pour tous mes amis comédiens !...

De Xi’an sur Sonnet : «Non, quand bien même une amère souffrance...» (Musset)
Tu vis coincé dans ta cilice,
Tu meurs en buvant ton calice
Et le rimeur de La Palice
Te souffle : Et qu’a fait la police...

De Rozès sur Esclavage (Thaly)
Ce grand poète est méconnu est c’est bien dommage. Il était médecin d’une famille béké, C’est peut-être ce qui nuit à son œuvre....

De Curare- sur Le Lait des chats (Guérin)
http://www.florilege.free.fr/juke-box/montrer.php?item=lait-des-chats

Ouah ! Merci Christian...

De 孔八戒主席 sur Sonnet du huit février 1915 (Apollinaire)
毛主席萬歲 !

 .   毛主席萬歲 !

 .                            ...

De Анна Ахматова sur «J’errais en mon jardin, quand au bout d’une allée...» (Ronsard)
1917

Проводила друга до...

De Сосhоnfuсius sur «Ô cœur triste et pensif, qui en si dur martyre...» (Birague)
Nef de l’Ambibouddha
--------------------------

Laissant derrière lui l’humanité martyre,
Le grand Ambibouddha, dont limpide est le...

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Photo d'après : Hans Stieglitz