(1855-1898)
1886 : La Jeunesse blanche
1891 : Le Règne du Silence
1896 : Les Vies encloses
1898 : Le Miroir du ciel natal
Liste alphabétique
Liste analphabétique
Mysticisme
Quand les lampes ont rassuré le soir frileux...
Le dimanche est le jour où l’on entend les cloches !...
Dimanches
La Tentation des nuages
Les cygnes dans le soir ont soudain déplié...
La Mort de la jeunesse
En de féeriques soirs où l’Eau se désagrège...
Le Banc de communion s’offre.....
Aux jours pascals, quand le ciel est d’azur...
Communiantes
Parmi les grandes cathédrales aux murs frais...
Les Femmes tristes
On dirait d’une ville en l’âme se mirant...
La ville est morte, morte, irréparablement !...
Dans les villes de nord et de mysticité...
Péché
Les réverbères en enfilade...
Pour la gloire de Mallarmé
Tant de lampes ! Oh ! ces lampes qu’on voit, le soir...
Douleur de se reprendre
Le jet d’eau monte dans l’air bleu...
Dans mon Âme, sous des guirlandes d’encens bleu...
Le Beffroi, durant la journée...
Matins joyeux
Ah ! cet exemple édifiant des cygnes...
Heures tristes de l’âme : états intermédiaires...
Comment aller jusqu’à l’hostie ?...
Soirs de ma ville morte ! Oh ! mes beaux soirs anciens...
Sous le ciel maladif et que l’orage soufre...
Refuge dans l’Art
Premier amour
Litanies
La Prière
Douceur du passé qu’on se remémore...
Toute la belle histoire est une souvenance !...
Quand le poète las s’est enivré de vin...
L’eau triste, certains soirs, demande qu’on la plaigne...
Mon âme sent parfois dans le soir équivoque...
Douceur parfois d’aller le dimanche à l’église...
Rien que des rêves doux et vagues, songeries...
L’Absence
La Nuit vient
Les cygnes blancs, dans les canaux des villes mortes...
Lune consolante
Les chambres, qu’on croirait d’inanimés décors...
La lampe est une calme amie...
Les cygnes blancs vont et viennent sur les canaux...
Aquarium mental
Ô ville, toi ma sœur à qui je suis pareil...
Dégoût
L’obscurité, dans les chambres, le soir, est une...
Douceur du soir et de la lampe qui s’allume !...
Heureux ceux qui n’ont aimé que les lampes !...
Le Voyage dans les yeux
Dans le cadre précis du bassin d’eau dormante...
Les jets d’eau, tout le jour, disent des élégies...
La Veillée du dernier jour de l’an
Ne plus être qu’une âme au cristal aplani...
Seul
La lampe dans la chambre est une rose blanche...
Quand on rentre chez soi, délivré de la rue...
La voix de l’eau qui passe est triste et mire en elle...
Musiques de la rue : accordéons...
Les jours sont arrivés où dans l’âme il a plu...
Tel canal solitaire, ayant bien renoncé...
Les beaux cygnes immaculés...
C’est tout là-bas, parmi le Nord où tout est mort...
Douceur de rêver...
Te rappelles-tu nos calmes rivières...
Quand le soir est tombé dans la chambre quiète...
Ses yeux
Des cloches, j’en ai su qui cheminaient sans bruit...
Veillée de gloire
Dans l’âtre noirci...
Les cloches ont de vastes hymnes...
Chaque rêve, les soirs de rêve, qu’on formule...
Plus qu’ailleurs on y songe au vide de la vie...
Ah ! ces grâces du blanc qui ne durent qu’un jour !...
En quittant le collège, abri calme et dormant...
Silence de la chambre assoupie et gagnée...
L’eau froide se compose une allure factice...
Soir
Extase d’un dimanche d’avril à Malines...
La Nuit est seule, comme un pauvre...
Ah ! ces cloches et cette pluie...
La flotte des heureux cygnes appareillait...
Oui ! c’est la mort, mais c’est aussi l’Éternité...
Récompense
Combien de souvenirs anciens, combien de choses...
Dans le silence et dans le soir de la maison...
L’Âme des bons
En des quartiers déserts de couvents et d’hospices...
Dans l’horizon du soir où le soleil recule...
Ce gris mélancolique est fait de blanc et noir !...
L’hostie est comme un clair de lune dans l’église...
Les vitraux sans nul or...
Renoncement
L’orgue dans le silence a soudain préludé...
Vieux quais
Les Jardins
Des mantes ont passé dans le vide des rues...
Promenade : Combien mélancolique était la promenade...
L’Eau qui parle : Te rappelles-tu nos calmes rivières...
Très défuntes sont les maisons patriciennes...
Rendez-vous tristes
Les chambres, dans le soir, meurent réellement...
C’est la douceur, c’est la candeur du Temps Pascal...
Douceur du soir ! Douceur de la chambre sans lampe !...
Pour le tombeau de Verlaine
Béguinage flamand
Mon âme est dans l’exil, plaintive et détrônée...
Le Berceau
La Naissance du Poète
Le miroir est l’amour, l’âme-sœur de la chambre...
La cloche ne sonne...
La Pluie
Tel soir fané, telle heure éphémère suscite...
Les canaux somnolents entre les quais de pierre...
Le dimanche s’allonge en toile monotone...
Quelques vieilles cités déclinantes et seules...
Collège ancien
La Passante
Les cloches ? Ah ! qui donc, quel évêque hypocondre...
Les Communiantes s’en sont allées...
Être le psychologue et l’ausculteur de l’Eau...
Solitude
L’Horloge
Chanteuse d’oubli
Amours inquiètes
Ô ville d’exemplaire et stricte piété !...
Les Malades aux fenêtres
Aux vitres de notre âme apparaissent le soir...
Mon âme dans le rêve a trouvé plus de charmes...
Art pur
Les dimanches : tant de tristesse et tant de cloches !...
La ville de plus en plus se délabre...
Mon âme a pris la lune heureuse pour exemple...
Seuls les rideaux, tandis que la chambre est obscure...
Dans l’air fraîchi, venant d’où, déclose comment ?...
L’Eau, pour qui souffre, est une sœur de charité...
Choses fatales
Les Solitaires
Brouillard
Dans quelque ville morte, au bord de l’eau, vivote...
La lune dans le ciel nocturne s’étalait...
Les enfants de chœur évoluent...
Si tristes les vieux quais bordés d’acacias !...
Le Coffret
En ces villes qu’attriste un chœur de girouettes...
Les vitrages de tulle en fleur et de guipures...
Une surtout, la plus triste des villes grises...
Seigneur ! en un jour grave, il m’en souvient, Seigneur !...
Le cœur de l’Eau pensive est un cœur nostalgique...
Promenade automnale
Analyse
Miracle de la neige ouatant la Ville Grise...
La lampe enfin est allumée...
Refrain triste
La Passion
Promenade : Douceur d’aller le soir, lorsque les chaumes blonds...
Les chambres vraiment sont de vieilles gens...
C’est un aquarium qui montre à nu, le mieux...
Douceur du souvenir
Silence : c’est la voix qui se traîne, un peu lasse...
Au-dessus des rumeurs, la cloche chante... Écoute !...
Mon âme, tout ce long et triste après-midi...
Nostalgie de jeunesse blanche
Processions
Quelque chose de moi dans les villes du Nord...
Ah ! vous êtes mes sœurs, les âmes qui vivez...
Les pièces d’eau, songeant dans les Parcs taciturnes...
Dans l’étang d’un grand cœur quand la douleur s’épanche...
Les réverbères des banlieues...
Chagrin d’être un sans gloire qui chemine...
Les Enfants
O salutaris hostia !...
L’Eau triste des canaux s’est désaccoutumée...
La vieille église rêve en un vaste silence...
L’eau vivante vraiment et vraiment féminine...
Premières Communiantes
D’autres cloches sont des béguines...
Litanies d’amour
Dans les chambres, comme ils parlent, les vieux portraits...
Charmes du passé
L’Idéal
Départ : En quittant le collège, abri calme et dormant...
Il flotte une musique éteinte en de certaines...
Épilogue
Quand luit la Lune en des clartés irradiantes...
Le long des quais, sous la plaintive mélopée...
Les cierges lentement brûlent parmi les nefs...
Légende
Le rêve de l’Eau pâle est un cristal uni...
Les jets d’eau sont des rouets...
L’Âme sous-marine
Cloches
Dimanche : un pâle ennui d’âme, un désœuvrement...
Douceur d’aller le soir, lorsque les chaumes blonds...
On aura beau s’abstraire en de calmes maisons...
Sur l’horizon confus des villes, les fumées...
Tout a l’air si inanimé !...
Des colombes, au bord de la gouttière, boivent...
Les Lignes de la main
Dans les brumes d’hiver, vers Noël ou Toussaint...
Les rêves sont les clés pour sortir de nous-même...
Les Premières Communiantes toutes blanches...
En province, dans la langueur matutinale...
Fin du rêve
Dites, avez-vous remarqué...
L’Eau qui parle : Quand le poète las s’est enivré de vin...
Les rêves : des miroirs où nous nous délayons...
J’aime la vie, oh ! cette vie unie et calme...
C’est là qu’il faut aller quand on se sent dépris...
Dans les banlieues
Nénuphar
Dans le vieux salon qui s’aigrit...
Songeur, dans de beaux rêves t’absorbant...
Les longs dimanches soir, toutes ces existences...
Les miroirs, par les jours abrégés des décembres...
La gare du village avait des airs funèbres...
Nocturne
Le sommeil remédie aux amers nonchaloirs...
Premiers beaux vers
L’eau houleuse du port est sans mirage aucun...
Ah ! cette tristesse de la maison...
La langueur du dimanche et son morose ennui...
Dans les jardins enclos, plus d’un jet d’eau dépasse...
Dans l’angle obscur de la chambre, le piano...
Dans le soir, au bord de l’eau...
C’est l’automne, la pluie et la mort de l’année !...
Les réverbères un à un vont s’allumant...
Mon rêve s’en retourne en souvenirs tranquilles...
Douleur d’aller, courbé sous la croix de son Art...
Ô cygne blanc !...
Le jet d’eau s’est levé sur la vasque d’eau morte...
Ennui de vivre
Les Cloches
Les cloches des dolents dimanches sont des gloses...
La chambre avait un air mortuaire et fermé...
Les Premières Communiantes...
La neige est d’innocence et de miséricorde...
Les mantes sont d’accord avec les soirs funèbres...
La vieille église a des vitraux tout nus...
Douceur d’associer notre âme à cette vie...
La Nuit s’acharne au réverbère qui la nie...
Lorsque la lampe éclôt, parmi la chambre obscure...
Des femmes vont, le soir, se hâtant vers les Laudes...
Ô neige, toi la douce endormeuse des bruits...
Carillon
Oui ! c’est doux ! c’est la chambre, un doux port relégué...
L’eau morte, certains soirs, vibre de cantilènes...
Alleluia ! Cloches de Pâques !...
Prologue
Luxe légué des vieilles villes...
Un triste réverbère...
Les mantes, dans le soir s’en sont allées.....
Ah ! ces voix du pays ! ces rappels du passé !...
Tel dimanche pour moi s’embaume de la voix...
À l’heure délicate où comme de l’encens...
Le dimanche est toujours tel que dans notre enfance...
Dimanche, c’était jour de lentes promenades...
Les Orgues
La Ville du Passé
Le jet d’eau dans le soir monte, lancéolé...
Tristesse ! je suis seul ; c’est dimanche ; il pleuvine !...
Le Soir dans les vitres
Prière
Combien mélancolique était la promenade...
Ô mai ! moment blanc de l’année !...
La Maison paternelle
L’Eau qui parle : Dites, avez-vous remarqué...
Le jet d’eau dans le jardin d’avril...
Vers d’amour
Heures troubles de l’âme aux multiples échos...
Départ : La gare du village avait des airs funèbres...
Le dimanche est un ciel vide et silencieux...
Dimanche, après-midi de dimanche, en province...
Les cloches, c’est de la séculaire musique...
L’hostie au fond du chœur est une pâle lune...
Le brouillard indolent de l’automne est épars.....
Les cloches dans le ciel ont assez de nuances...
La Loïe Fuller
Dans l’aurore s’éplore un octobre des pierres...
I
Le soir descend dans les vitres et les submerge... Un rayon y vacille un moment comme un cierge, Dernier cierge frileux des vêpres terminées ! [...]
[lire le poème...]
Donc on a l’air de vivre et de mirer la vie, Et d’être une eau docile où le couchant s’enflamme, Une eau candide où le matin se clarifie, [...]
Savoir qu’on sera lu par les yeux doux des femmes Et qu’elles presseront, pendant les soirs d’hiver, Votre livre imprégné d’un rayon tiède et clair Qui venant droit du cœur ira droit vers les âmes. [...]
(Tоuriste)
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