Toujours la peste aux Grecs ne décoche Apollon, Quelquefois il s’ébat à sonner de la lyre, Quelquefois sur la mer bon vent a le navire Et toujours ne court pas un orage félon,
Toujours l’honneur des champs ne dépouille Aquilon, [...]
Après que sur le bord du Rhône, Et que sur celui de la Saône J’ai plaint longuement ma douleur, Je viens aux rivages d’Isère, Rempli d’amoureuse chaleur, Lamenter ma vieille misère [...]
Ce n’est pas moi qui sait d’une voix feinte, Ou d’un semblant traitrement déguisé, Feindre mon cœur d’un amour embrasé, Pour à tous vents la flamme en être éteinte.