L’un vainqueur ou l’autre battu,
Ces beaux soldats qui vous ont faite
Gardaient jusque dans la défaite
Le sourire de leur vertu.
Vous, pour avoir rendu les armes,
Je vous trouve fondue en larmes
Et qui m’insultez entre tant.
Que si l’on doit, toute sa vie,
Déplorer l’éclair d’un instant,
Mieux vaut coucher sur son envie.
Commentaire (s)
Votre commentaire :
Mon florilège
(Tоuriste)
(Les textes et les auteurs que vous aurez notés apparaîtront dans cette zone.)