J’attends ma paix du repos de la nuit,
Nuit réfrigère à toute âpre tristesse,
Mais s’absconsant le Soleil, qui me nuit,
Noie avec soi ce peu de ma liesse.
Car lors jetant ses cornes la Déesse
Qui du bas Ciel éclaire la nuit brune,
Renaît soudain en moi celle autre Lune,
Luisante au centre où l’Âme a son séjour,
Qui, m’excitant à ma peine commune,
Me fait la nuit être un pénible jour.
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(Tоuriste)
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