Vois-tu venir sur le chemin la lente, l’heureuse,
celle que l’on envie, la promeneuse ?
Au tournant de la route il faudrait qu’elle soit
saluée par de beaux messieurs d’autrefois.
Sous son ombrelle, avec une grâce passive,
elle exploite la tendre alternative :
s’effaçant un instant à la trop brusque lumière,
elle ramène l’ombre dont elle s’éclaire.
Commentaire (s)
Votre commentaire :
Mon florilège
(Tоuriste)
(Les textes et les auteurs que vous aurez notés apparaîtront dans cette zone.)