Comme j’ois que chacun devise
On n’est pas toujours à sa guise
Beau chanter si ennuye bien
Jeu qui trop dure ne vaut rien
Tant va le pot à l’eau qu’y brise
Il convient que trop parler nuise
Se dit-on et trop gratter cuise
Rien ne demeure en un maintien
Comme j’ois, etc.
Après chaud temps vient vent de bise
Après huques robes de frise
Le monde de passé revient
À son vouloir joue du sien
Tant entre gens lais que d’Église
Comme j’ois, etc.
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(Tоuriste)
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